Je me suis un coin de table avec du papier cadeau brillant, pour faire joyeux. Et voici, l'appéritif.

Sur l'assiette, deux bouchée homard-mangue, une gamba à la noix de coco, deux accras et une panacotta potiron-saint-jacques. Dans le verre, je me suis préparé un thé-sangria. L'autre jour, j'avais bu cela dans un salon de thé, j'ai trouvé l'idée pas mal.

J'ai préparé une tasse de thé à la violette, que j'ai laissé refroidir. Dans le verre, il y a donc du thé, un peu de limonade, du jus de fruits rouges (tropicana) et des fruits (un quartier d'orange, un quartier de pamplemousse, une cerise (j'en ai acheté 6), deux grains de raisin).

Mon menu festif de ce premier de l'an, j'ai fait de la dinde au marron. Une barquette d'escaloppes de dinde, une boîte de marrons à la forestière et une tranchette de foie gras. C'est tout. Le tout dans un plat et dans le four. C'est ce que j'appelle de la cuisine en kit, c'était bon.

En dessert, un mont-blanc myrtille et une briochette aux pralines roses. Parfait avec un bon thé. Ce n'est pas du fait maison, mais au moins je n'ai pas de restes.

En ce qui concerne les restes, les pavés de rumsteck d'hier soir étaient vendus par deux. Pour demain, j'ai donc du hachis parmentier.

Partie à midi pour manger une bonne pizza. J'avais prévu de de rentrer ensuite, expédier les tâches ménagères puis de me rouler sur le canapé avec livre, chat, tv. Finalement je suis montée dans le bus qui s'approchait le plus du quartier où l'on trouve tous les magasins de tissus. Il me fallait du tissu pour faire le corps de poupées, j'étais en panne sêche. Après la descente du bus, j'ai marché les mains dans les poches. Je n'avais pas emmené mon appareil photo. Je n'avais que mon téléphone pour joindre l'utile à l'agréable.

Et se diriger vers des magasins un samedi, en période de soldes en plus! Je ne savais pas trop vers quoi j'allais. Je retournerais de toute façon, j'aurais d'autres occasions. A un moment j'ai hésité "je tourne à droite, il me semble que c'est par là!" Derrière moi, il y avait un groupe de personnes, famille ou amis, une dame donnait des indications. J'ai demandé si j'allais dans la bonne direction. Ces gens étaient bien sympathiques, j'ai eu la confirmation que c'était bien à droite que je devais tourner, mais je crois bien qu'ils auraient trouvé normal que je me balade avec eux.

Finalement, j'ai trouvé du coton qui ira bien pour faire le corps de poupées. Et j'ai aussi ce morceau de fin velours pour faire une, où deux, robe d'enfant ou une jupe pour moi!? J'ai demandé une petite mesure parce que je voulais juste faire une robe de poupée, mais voilà que c'était la fin du rouleau! Il restait environ un 1m40. "Le tout pour le prix d'un mètre?"  J'ai pris. Par contre. J'ai un superbe coupon.

Enfant avec ma mère qui savait bien coudre...

Bon!

Sortie du magasin j'ai peu marché finalement parce que j'ai reconnu un bus que l'un de mes bus habituels "croisent", j'ai pour le coup découvert un peu quelque chose!

Sourire!

Ce matin, je me suis levée tôt, j'avais pour objectif d'aller voir l'exposition "Hopper". J'avais lu que les portes ouvraient à 10h00. Je suis descendue du bus à l'heure, j'étais à 10h00 devant la porte, je me disais qu'il y aurait forcément un peu d'attente mais que ce ne serait pas trop. En arrivant, je me suis dit "pas possible!, les gens n'ont pas de maisons!" La file d'attente bien rangée en colimaçon arrivait quasiment déjà jusqu'au trottoir. Mais à quelle heure fallait y arriver? Je suis restée planté 40 minutes à attendre comme tout le monde, puis à renoncer. Constatant que cela n'avançait pas bien vite, que lorsque le quota de gens est entré et qu'il faut leur laisse le temps de la visite, pour que les premiers sortent... J'étais hyper-déçue, mais restée figée aussi longtemps à attendre... J'ai de bons doutes quant à une autre date !

Finalement, j'ai marché. J'ai tourné autour de palais-royal, je ne savais pas trouver un plan B. En croyant prendre des petites rues, je me suis retrouvée aux pieds des grands magasins. Oui, j'ai une course à y faire, il me faut trois moulins à poivre, pas trop chers de préférence et vendus vides. C'était la loose, partie voir une expo, se retrouver à juste faire ses courses! Comme mon arrêt de bus était juste devant, j'ai décidé de rentrer. Après tout, j'ai assez de quoi m'occuper! Lecture, un petit ouvrage qui m'attend.... Dans le bus, j'avais le moral d'un chien battu. A peine aimable.

Finalement mon bus passe à côté. Je suis descendue du bus comme un automate de sa boîte. Les maisons d'écrivains, ce n'est pas après quoi je coure; "voici sa table, son fauteuil, son stylo!". Mais depuis le temps que ce bus passe à côté. Je me disais qu'il faudrait y aller voir, par curiosité. Comme il a fallu tout vendre pour payer ses dettes, si je ne me trompe pas, on n'entre pas dans son univers en visitant ce lieu. On ne sent pas de présence comme parfois on peut le faire dans d'autres endroits. Il a vécu quelques temps-là, caché en plus, pour justement échapper à ses créances. Pour y travailler sans doute. Il a travaillé, que ma journée gâchée finalement n'est pas si mal.

J'ai visité la Conciergerie. Il y a une expositions sur les châteaux, les vrais ainsi que les châteaux imaginaires.

Mais si la Conciergerie a été une demeurre des rois, elle devint ensuite une prison.

J'ai pu voir une maquette de la Bastille. Avoir ses appartements dedans! Ca manque de fenêtres! Sourire.

La Conciergerie d'après ce que j'ai lu "était réputée comme la plus dure des prisons". La Bastille a été totalement démolie après la révolution, ses pierres ont été vendues et ont servi à construire ailleurs. Tandis que la conciergerie est restée. Et elle a servi, beaucoup. Encore aujourd'hui, me semble t'il.

Pour une après-midi de lecture dans un parc, très fréquenté et bruyant en cette saison, il me fallait choisir un livre tout terrain. Celui-ci se lit très bien et vite; pourtant le sujet est dense.

Il semble que cela soit une adaptation d'une vraie expérience. Comme il est notifié qu'il existe un film, j'ai cherché si je trouvais un extrait. J'ai trouvé la bande annonce qui résume plutôt bien.

Je voulais faire au moins un petit truc pour célébrer l'automne. La saison qui est pressée cette année! Elle doit avoir rendez-vous quelque part pour balancer en vrac autant d'eau déjà! Du coup, je suis prête au quinze octobre pour célébrer le 1er novembre. J'ai pris le temps de faire cette petite décoration en feutrine, accrochée à la porte du salon.

Entre le dessin et la réalisation!

La réalisation en feutrine fait peur! Gnark-gnak!

Hou-hou..... hou.......hhhhooouuuuu

Gloups, c'est le fantôme de la citrouille de l'année dernière qui vient!

Aaaahhhh! Vite sauvons-nous! J'ai peur! Elle va nous manger!

Aaaaaaahhhhhhhhhh!

Du canard colvert. Je ne connaissais pas du tout. Préparé pour ma boite de lundi et de mardi, j'ai goûté un mini bout.

Dans ma casserole, j'ai fait chauffer de l'huile afin de faire dorer la viande. Ensuite on jette le gras, on remet la viande. J'ai mis, deux petits pions d'ail, deux petites échalotte et un petit oignon saucier, quelques feuilles de persil frais, des lardons fumés, poivre. Ajouter une lichette de porto et mouiller au vin blanc, Le porto, c'est la petite fiole spéciale cuisine. Quand au vin blanc, je ne savais pas lequel, mais je n'ai pas réfléchi longtemps, c'est un "gris d'alsace" qui était là parce que j'avais lu une autre recette. Ajouter des champignons frais. J'avais un tout petit cèpe, une mini poignée de girolles et de chanterelle. Grand prix, poignée mini. Il faut laisser mijoter une heure. Je n'ai pas penser à regarder le réveil, je pense que c'est rester un peu plus.

On enlève la viande, on filtre les champignons et lardons. On fait réduire le jus avec un peu de concentré de tomate et normalement du beurre en bonne quantité, j'avais une briquette de crème entamée, j'en ai mis une lichette.

J'ai prévu avec cette viande, du potimarron.

J'ai goûté un peu le canard, c'est bon, cela a beaucoup de caractère.

Depuis le temps! Ce bus passe devant. Le genre d'endroit. Dans le bus, je me disais qu'il fallait penser à y venir pour voir de quoi il s'agit dans ce musée. Sauf que lorsque je monte dans ce bus, la plupart du temps c'est que je vais ailleurs. Le hasard m'a fait descendre du bus. C'était le jour! Quand je dis que le visuel l'a emporté!, la salle des moulages offre un effet visuel qui aspire la concentration. Ce que les photos ne montrent pas, c'est la perspective; derrière une porte, il y en a une autre ou on aperçoit autre chose. Je n'ai pas révisé ce qui concerne l'art roman, l'art gothique. Si l'exposition semble proposer l'art religieux, ce sont les bâtisseurs qui ont fait évolué l'architecture finalement. A vouloir faire une église extraordinaire, ils ont donné les bases qui font qu'on peu construire un building maintenant.

A l'origine, ce musée est né d'une idée de montrer au public des choses qu'il ne verrait probablement pas en vrai; mais entre temps, les transports se sont développés. Les gens peuvent prendre le train. Il manque encore pas mal de tgv, ceci dit.

Le monde moderne est présent bien sûr. Ah le monde moderne! Déjà pour le trouver dans le musée, c'est le truc qu'on voit sans le regarder! Il y avait un ascenseur dans la galerie, m'a dit le gardien. Je fait marche arrière, je vois bien qu'il y a un ascenseur cette fois-ci. Il y avait un homme étrange planté devant. Pour monter dans cet ascenseur, c'est en recoin. J'avais vu quelques temps avant le "monde fumette dans le bus", donc méfiance. On est monté tous les deux dans l'ascenseur, j'ai appuyé sur l'indication, genre "galerie moderne". Quand la porte s'est ouverte sur le monde moderne, le gars bizarre a connu un moment de soulagement. C'était un touriste allemand, il m'a dit "merci madame", dix fois au moins. Je n'ai pas cherché à savoir plus mais je crois le bonhomme perdu a bien retrouvé sa famille, je l'ai revu plus loin bien détendu. J'ai sauvé une famille aujourd'hui! Sourire. 

-Dis Madame, tu crois qu'il voudrait venir à notre fête?

-Demande lui mon gars!

-Oui c'est vous l'auteur, alors....

-Vous les personnages, vous! Ah! Vous, vous débrouillez dans vos vie, ne comptez pas sur moi pour vous aider! Par contre, quand j'écris une histoire, débrouillez vous pour occuper votre rôle! Allez l'ami, va t'amuser et profiter de la vie!

-Merci, euh mais je n'ose pas tout seul, vous voulez bien m'aider quand même un peu! Je ne suis qu'un personnage imaginaire après tout et vous l'auteur!

-Gus!, tu as tout ce qu'il faut pour foncer vers ton nouvel ami, alors fais le!

-Mais je...

-Gus fonce!

Comme il pleuvait ce matin, je pensais faire une après-midi cinéma. Un premier film, puis en choisir un second. Sauf que mon premier choix était un bon film avec une histoire forte. Difficile de repartir aussitôt dans une autre histoire. Je me suis donc juste baladée, j'ai regardé les décorations de noêl, pris un petit café dans ce magasin en contemplant le sapin.

Une petite journée de Rtt qui a filé vite!

Je ne connaissais pas ce légume. L'oca. J'en ai pris que quatre pour tester. En rentrant, j'ai cherché comment les préparer. J'ai opté pour les éplucher et les cuire à l'eau (ainsi qu'une pomme de terre) j'ai fait un écrasé pomme de terre-oca. Pas mal.

J'ai lu que l'oca était originaire du Pérou, qu'il est proche de la pomme de terre avec l'acidité de l'oseille.

Mon aléas de recette, j'étais persuadée que les sachets de noisettes et d'amandes en poudre que j'avais faisaient 200g. Ils ne font que 125g! Comme j'avais la fournée des autres biscuits dans le four, je ne pouvais pas courir chercher un autre sachets à la superette. Voilà comment, je suis passée d'une recette de biscuits secs, à des douceurs plus tendres.

Ma recette improvisée:

Battre 3 blancs d'oeuf, puis ajouter 200g de sucre. Y incorporer un sachet de 125g de poudre d'amandes, un sachet de 125g de noisettes en poudre, 50g de cerneaux de noix passés au mixeur pour en faire de la poudre! Et environ une cuillère à café de poudre d'épices "spéciales pain d'épice". Environ 30 minutes au frais. Sur une plaque recouverte de papier cuisson, faire des petits tas. Applatir un peu. Pas évident parce que la préparation était collante aux petites cuillères que j'ai utilisées. Cuire 10 minutes au four préchauffé à 150°

Après cuisson, j'ai fait un peu de glaçage. J'ai étalé avec le pinceau de cuisine, pas trop épais ce glaçage, parce que la préparation contenait déjà beaucoup de sucre.

Le glaçage blanc, c'est du sucre glace dilué dans du triple-sec (petite fiole au rayon alcool de cuisine), le foncé c'est du chocolat poulain dilué dans du triple-sec. Le triple-sec est une liqueur arôme écorces d'orange.

Ces petites bouchées ont été les plus appréciées, particulièrement celles avec le glaçage blanc.

 Une journée de repos sympa. J'ai pris le bus en me demandant où j'en descendrais. Au moment où le bus, passait une place, un gus que j'avais repéré au fond du bus facilement puisque j'étais assise juste en face, a allumé ce qui n'était pas une simple cigarette. L'odeur. J'ai appuyé sur le bouton pour demander l'arrêt suivant. La suite de ma journée est donc la conséquence d'un comportement particulier, allumer son "herbe à rêves" dans le bus.

Le hasard m'a porté. Alors, dire que j'ai appris quelque chose, ce serait exagéré, parce que le visuel m'a si bien accaparé que j'en ai oublié de lire les explications.

Un avantage de saison! J'ai trouvé sans peine une place en terrasse et j'avais l'embarras du choix pour m'installer avec un livre.

Finalement j'ai opté pour aller manger un plat chaud dans la galerie marchande où j'ai ensuite flâné, le temps qu'il faut pour que mes orteils et mes doigts revivent. Les bottines de citadine ne sont pas adaptées, en plus elles glissent. Les gants ou l'appareil photo....

Puis je suis rentrée, orteils et doigts sont sains et saufs, pas mon nez! Je le sentais venir hier; ce soir, j'en suis sûre, j'ai un rhube! Atchoum... C'est parti pour "la danse du mouchoir"! Un peu de musique? Un petit air de trompette peut-être!

Je me suis installée sur le canapé avec mon ouvrage, le chat et une petite séance de ciné-club. Je ne connais pas particulièrement Modigliani, même on a déjà vu certains de ces portraits. Le film, je trouvais que quelque chose n'allait pas, trop mou ou je ne sais quoi, et je trouvais que l'acteur n'allait pas. Le peintre. Artiste "torturé", malheureux, alcoolique et en mauvaise santé, je m'attendais à quelque chose de plus agité et tonique. Stéréotype, peut-être. C'est un film, c'est romancé pas forcément bien exact. En regardant le petit documentaire proposé sur le dvd, j'ai entendu que les défauts perçus en visionnant le film étaient des "regrets" quant au projet du film. C'est vrai que je ne m'occupe pas souvent de savoir qui a fait le film, mais de Becker quand on a vu "Antoine et Antoinette", celui d'aujourd'hui déçoit. Le docu m'a expliqué. Un style qui a dû se trouver dans un autre... etc... Mon petit bilan perso, le film seul, on est mitigé sur l'impression; tandis que le film suivi du documentaire, on comprend mieux.

Je suis allée faire la balade au salon de l'agriculture. Et comme tous les autres citadins, j'ai été admirer les animaux. Dans cette jungle urbaine, il n'est pas aisé de voir les animaux quand ils sont petits. C'est nettement plus facile d'apercevoir les bêtes de quelques 1500 kilos.

Un monsieur à côté de moi a dit "ils ne savent pas ce qui les attend!" Les bovins eux sont prévenus, il y a les stands boucherie&fast-food juste à côté! Une dame plus loin a dit à son fils "c'est gentil une vache!" Ne connaissant pas particulièrement les vaches, je la crois. Je me suis juste dit que si une bête de plus de 1500 kilos était fâchée, fallait être sûr quand même de courir plus vite qu'elle!

Et j'ai été d'accord avec un monsieur qui a dit "quand même, il y a des gens malhonnêtes qui veulent se faire du fric, mais heureusement qu'il y en a qui travaillent!"

Le chat-sphinx. Je suis restée un moment à le regarder. Sur la photo, il s'agit d'une jeune de deux ans. A côté, il y avait un autre chat, je ne sais plus lequel mais un qui semblait gros et pataud avec ses longs poils. J'ai préféré le chat qui a des poils et qui n'est donc pas à poil! Jeu de mot facile, sourire. Le chat sans poil ressemble au poulet qu'on va faire rôtir un dimanche midi. Se rouler et buller devant la tv avec le chat, ce même dimanche après midi, c'est aussi ce plaisir d'avoir une peluche qui ronronne et gigotte. La main qui caresse et qui traverse le poil, râler parce qu'il y a des poils partout... Je préfère!

Je m'étais dit que si je trouvais un stand où je pourrais poser des questions; ma Minette qui est un rustique chat de gouttière a désormais 17 ans et aura 18 ans, non je crois bien que Minette a déjà 18 ans, elle est née la même année que le plus jeune de mes neveux qui a fêté ses 18 ans. Enfin bref, Minette vieillie. Et j'aurais bien aimé savoir où parloter avec des gens qui s'y connaissent en chat. Sauf que les stands étaient estampillés avec des marques et que je n'ai pas su voir un stand généraliste. Minette n'a pas mangé de grandes marques et ne traverse pas l'appartement avec un tee-shirt à logo! Et la voilà qui devient un très vieux chat pourtant. Sourire.

J'ai eu un sympathique cadeau de noël!

On avait goûté cela ensemble au salon d'octobre! Elle l'a fait, mais en plus elle a prévu des échantillons pour moi! Ca c'est super sympa!

"J'ai coupé un filet de poulet en cubes, j'ai mis le tout dans un bol en saupoudrant de... poudre!
Poudre de réglisse! C'est resté comme ça dans le frigo un certain temps.
Ensuite j'ai mis un court filet d'huile d'olive dans la casserole, un petit oignon saucier, pour faire un peu prendre et dorer. Ensuite, j'ai déglacé avec un filet de vinaigre aromatisé à la cerise et j'ai ajouté quelques aromates (cerfeuil et persillade). Finalement j'ai baissé le feu, ajouter un peu de crème allégée et une cuillère à thé de réglisse sucrée. J'ai laissé faire sur la plaque à 1.
Le résultat était bien. Il faut aimer le genre salé qui devient un peu sucré.
Ce poulet à la réglisse était bien bon!"

Question goût, je ne risquais rien. Des aiguilettes de poulet  un petit oignon, du poivron rouge et du chorizo; le tout coupé finement, avant de passer dans la poèle. On ajuste l'assisonnement, j'ai ajouté un peu de sel (sel de noël aux épices), de la coriandre en poudre, un peu de persillade et du cerfeuil séché. Comme je n'ai pas de fromage frais de chèvre, j'ai mis un fond de briquette de crème fraiche allégée. (On peut faire ce que l'on veut, à son goût!) On laisse refroidir.

On roule dans des feuilles de brick (je n'ai toujours pas progresser sur cet art!), et on met dans de l'huile chaude. On laisse dorer et on pose sur du papier sopalin afin d'éponger. 

Avec une petite salade, ici laitue rouge et estragon. C'est bien.

... de visiter ceci.

Des restaurations sont en cours, d'où l'utilisation d'une carte postale en première image ici. La Sainte-Chapelle se trouve au coeur de ceci.

Le palais de la cité, résidence royale vers le Xième siècle. Et donc sa chapelle, construite d'après la volonté du roi Louis IX, celui qui a été nommé Saint-Louis. Palais devenu depuis celui de la justice.

Elle est colorée. Et on est tout petit face à ces immenses vitraux. C'est une jolie visite payante certes, mes 8euros50 participent à la restauration du patrimoine. J'ai lu que la Sainte-Chapelle a été un chantier qui a démarré alors que celui de Notre-Dame avait commencé lui aussi. J'ai lu que cette Sainte-Chapelle était un succès d'architecture et d'audace.

Enfin bref, c'était une jolie visite.

Déambuler dans les rues, c'est regarder aussi. Pas seulement les monuments. Regarder comment sont faites les rues, les petits commerces, voir où se trouve la boulangerie par exemple. En passant devant un primeur j'ai vu l'étiquette.

Bergamote, 7euros49 le kilo. Sur le moment, je n'ai pas capté qu'il s'agissait de ces fruits, mais j'ai fait demi-tour. J'en ai baladé trois dans mon sac une partie de l'après-midi, j'en eu pour moins de deux euros d'essai)

Je ne connaissais pas du tout, même si je bois du thé à la bergamote et apprécie les bonbons à la bergamote parfois. Le fruit, je ne l'avais jamais vu en vrai. Et je dois dire que je ne m'étais jamais posé la question sur ce qu'est la bergamote!

Ce serait un fruit né du croisement entre l'orange et le citron vert.

Le monsieur-primeur m'a dit, c'est doux, on n'en a jamais beaucoup, ça part toujours vite et la saison s'arrête bientôt à la mi-mars En rentrant forcément, j'ai goûté.

Ce fruit seul ne présente pas beaucoup d'interet. La taille d'une clémentine, s'épluche et se présente pareil. La clémentine est orange, la bergamote est plutôt jaune. Dans la bouche, ce n'est pas acide, ce n'est pas sucré, c'est neutre. Il y a ce goût de bergamote qui vient, heureusement. Ce fruit ne peut s'en sortir seul.

Une orange et mes deux bergamotes restantes, ça oui, ça va être un bon jus! Ou sinon les quartiers de bergamote à la manière du pamplemousse comme on peut faire parfois, avec un peu de sucre...

Le monsieur du primeur m'a dit "pensez à faire sêcher les épluchures, un peu dans du thé et on a un thé à la bergamote pas mal!"

A Pâques, on ne fait pas que manger du chocolat! On peux aussi visiter ce petit musée qui retrace les grandes lignes de son histoire. On y voit à quoi ressemblent un cacaoyer, une cabosse. On y voit un résumé de l'histoire de ce produit tant aimé depuis toujours. Est évoqué l'évolution des outils, ainsi que l'art de la table lié à ce produit. Un moment considéré comme un produit de pharmacie, mais finalement gagnant sa place dans les plaisirs de la vie; la religion s'est penchée sur son cas afin de décider si on pouvait en consommer lors du carême, on pouvait puisqu'il n'était pas considérer comme une nourriture. Un panneau évoque C. Colomb (1451-1506), le génois maladroit qui n'a pas trouvé cette boisson de l'époque interessante, boisson qui ne ressemblait en rien à ce que l'on connait. Il faut reconnaitre que c'était une boisson cacaotée, sans sucre, épicée, pimentée, poivrée; le genre tonifiante qui décolle les oreilles. Et donc c'est l'espagnol Cortez (1485-1547), qui à l'inverse, a trouvé de quoi remplir la cale de son navire, cette cargaison de fèves de cacao parmi d'autres choses, a été son or. Le cacao est entré en Europe ainsi via l'Espagne. En France, il n'est apparu que début 1600.

Plaisante visite.

Je ne connaissais pas ce musée, je suis passée devant par le hasard d'une promenade.

Partie ce midi pour faire une petite course. Premier arrêt pour un plat du jour, onglet de veau, crème à l'ail et chips maison et courgette. Très bon, j'étais dubitative sur la crème à l'ail; finalement c'était doux et cela s'accordait bien avec la viande.

Pendant que les amateurs de baskett s'installaient pour admirer les prestations, je suis allée voir l'exposition, les belles robes. (Comme, on ne peut pas prendre de photos, j'en ai pris deux sur le site!) La haute-couture est née en 1858 à Paris, elle met en valeur couture et autres savoir-faire.

Beaucoup de promeneurs dans la ville, du monde installé sur les terrasses des cafés, du monde tranquille et détendu.

La course vite expédiée, le moment de déguster une petite glace est venu, puis de trouver une chaise au soleil avec un livre.

Voilà comment un samedi a filé très vite!

En passant par le monop, il y avait de la rhubarbe. J'en ai pris deux batons ainsi qu'un fond de pâte brisée. J'ai ajouté un peu de crême liquide, un oeuf, du sucre et la poudre d'amande. Les bords ont noirci, il n'y avait pas beaucoup de garniture.

A part ce détail, c'était bon!

Une tarte fine à la rhubarbe.