Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
L'escapade de Roseline!
13 février 2014

Amusant!

Sans titre-3Je connaissais ce genre d'humour même si je n'ai pas lu entièrement le livre publié par Omnibus "l'os à moelle" et que je lis une petite annonce de temps en temps. Certaines restent drôles, pour d'autres les temps ont trop changé, mais bon c'est amusant.

La parodie de journaux.

J'ai croisé un livre en entrant juste dans un relais pour acheter une bouteille d'eau. Je ne connaissais pas!

Sans titre-1Mes jeunes collègues, eux si. Parce que livre découle d'un site sur internet. On a passé un moment à lire des extraits et à s'amuser.

IMG

Il semblerait que des gens aient pris au sérieux ce genre d'articles. C'est bien rédigé évidemment mais je suis surprise que des gens aient tout pris au sérieux.

L'article du jeune homme trop souriant me fait penser à une scène d'un livre.

Sans titre-1bDans ce livre, il s'agit d'un homme solitaire. Il prend le métro, le wagon est vide sauf un autre. Au lieu de s'assoir sur un siège ni trop loin ni trop proche comme on le fait tous souvent, il s'assied à côté de l'autre. C'est un stress pour les deux d'être aussi proches!

C'est amusant tout ça!

Publicité
Publicité
14 décembre 2013

Un vrai plaisir!

Sans titre-1

Sans titre-2

Sans titre-3

J'ai donc visité le musée de la poupée, un lieu plein de charme. Au fil de la visite, on découvre la période 1800 à 1959, des petites notices retrace le cheminement des matériaux utilisés (le bois, la porcelaine, le carton bouilli, biscuits, celluloïde, tissu, cire, plastique), sont évoqués les grands noms des créateurs. Poupées jouets, poupées décoratives; de tous les temps des représentations humaines ont existé avec diverses significations.

Le musée propose une exposition permanente et des expositions temporaires, en ce moment, il s'agit de "Poupées de mode du second empire", des poupées joliment présentées avec garde-robe et accessoires. On finit avec Chiffonnette et sa garde-robe recréée.

Ici, je montre un échantillon avec ces photos.

Le musée est doté d'une boutique où l'on trouve de quoi faire une collection! Mais on peut trouver aussi des animations, une clinique pour les poupées...

Une agréable visite.

21 décembre 2013

Sourire!

Sans titrePartie ce matin affronter la jungle urbaine, le resto du samedi, un risotto asperges et st-jacques, excellent, un petit café et vive la vie!

On ne marchait pas sur certains trottoirs de la ville, on jouait aux auto-tamponneuses.

Sans titre-1Pour le peu que j'avais en visée, j'ai passé plus de temps à ramer dans la foule que de me balader. Curieusement, lorsque je suis montée dans le bus, il n'y que peu de gens, un tel silence dans le bus que le chauffeur a même mis un peu de radio! A noter ce n'est pas souvent que l'on fait une balade en bus avec de la musique si l'on n'a pas soi-même des écouteurs. C'était agréable dans ce bus si calme.

En rentrant de cette balade, j'ai fait les petites courses du quotidien. A mon menu, un salade iceberg, j'aime bien c'est frais, ça croque et deux articles gourmandises de chez le traiteur au nom bien connu, cela commence par un L. Une tartine de pain d'épices avec fois gras et en dessert un gâteau. J'ai déjà mordu dans les pattes de l'ours, c'est bon.

Le gâteau: "Bonhomme de neige en chocolat et sa gourmandise composée d'une légère dacquoise amande et noisette, garnie d'un parfait lacté, de feuilletine et d'une délicate crème Paris-brest. Tête de meringue aux pralinettes en décor."

Un bon programme, une trève au milieu de la vie ordinaire. Se rouler sur son canapé en dévorant son ours et le bonhomme.... Cela répare quelques unes des fatigues du quotidien.

 

1 mars 2014

Bah!

Sans titre-3Après une semaine du genre boulot-dodo, j'ai voulu un samedi canapé-chat-livre. Idéal lorsqu'il s'agit comme en ce moment d'une période pluvieuse. Tout était parfait sauf... le livre! Choisi parce qu'il semblait amusant. Je m'attendais à un polar humoristique.

De l'humour effectivement, il y en a, sauf qu'il n'y pas une page sans une louche de vulgarité, tout se passe au dessous de la ceinture. J'ai abandonné à la page 12!, alors qu'il en restait environ 260. Dommage parce qu'il y a vraiment de l'idée dans cette histoire qui peut trouver son public. C'est de l'humour trop décalé pour mon goût personnel.

Finalement j'ai fait une après-midi canapé-chat-tv, à regarder une série américaine déjà vu. Minette était ravie et ça fait du bien de se reposer. Sourire.

1 mars 2014

Ce midi

Sans titre-1C'est simple mais c'est bon. Des légumes, de l'oeuf, du fromage râpé...

J'ai suivi cette recette mais en l'adaptant au nombre de convives, c'est à dire...moi.

Sans titre-2J'ai mis dans ma petit poèle les légumes (le bout d'un poivron orange, une petite courgette, un petit oignon et deux petites carottes. avec un peu de cette préparation sésame-soja. J'ai coupé mes carottes en morceaux petits et la courgette en plus gros, ces légumes nont pas la même résistance à la cuisson.  Il s'agit à ce moment de les précuire et éventuellement faire sortir un peu de leur eau. Comme herbes fraîches, j'ai choisi de la coriandre. J'ai ajusté l'assaisonnement en sel avec une pincée, le fromage râpé ne suffisant pas à lui seul. J'ai mis le minuteur pour respecter les trente minutes de cuisson au four dans un bain-marie.

Simple mais très bon.

Publicité
Publicité
13 février 2014

Sourire!

Sans titre-1Une nouvelle venue dans ma vie, la petite poèle avec son couvercle. Cela fait un mois maintenant! Elle m'a fait plaisir avec un dos de cabillaud au lait de coco épicé.

Parfois, j'admire ces robot multi-fonctions qui semble tout faire. Je ne sais pas à quoi cela me servirait, mais ça fait rêver!

La marmite est un cadeau de ma maman. Il ne s'agit peut être pas d'ustensile qu'on se transmet de génération en génération, mais cette marmitte carbure depuis ces années, quand je me fait une soupe, des légumes ou si on est plus d'un convive. Ensuite, j'ai acheté une casserole un peu plus petite qui a fait du veau marengo et autres bons petits trucs. Et voilà une poèle bien prometteuse!

En cuisine, il n'est pas forcément indispensable de claquer des mille et des cent, juste quelques utensiles, presque trente euros pour la poèle et son couvercle. Si l'on en prend soin, ils facilitent la vie des apprentis cuisiniers.

L'autre chose qui me fait cuisiner, c'est bête à dire. Mais en réalité dans mon ancien appartement, j'avais une cuisinière à gaz, malgré les plaques de répartition de la chaleur, je n'étais pas satisfaite. Depuis que je vis dans un appartement tout à l'électrique, mes plaques peuvent reproduire un peu le plat laissé sur un poèle!, entre autre.

Tout réuni fait que j'arrive à avoir des légumes qui ont le goût de légumes par exemple, sans passer ma vie devant la gazinière, j'obtiens de meilleurs résultats qu'avant. En cuisine, j'ai encore de sacré progrés faire, mais je n'y passe pas tout mon temps. Par contre, c'est vrai que si la raison l'emporte, il faudra arrêter les centrales produisant mon électricité! Mais bon, d'ici là profitons du plaisir en plus de payer les factures.

Tout ça pour dire que je suis contente!

16 novembre 2013

Un samedi!

005b

Un samedi plaisant. Je suis une fashion-victime, jean-tee-shirt ou jean-tee-shirt et pull!

Mais j'ai bien aimé ma balade. Nous avons ce jour férié, le 11 novembre, cette exposition nous fait voyager vers cette époque.

La garde-robe est celle d'une femme qui a vécu, née en 1881 et partie en 1969. Sa mère était couturière. "Couturière en robe" nous dit le texte, quand on voit à quoi ressemblaient les robes jadis, on comprend bien qu'une couturière soit spécialisée! Une de deux soeurs était "première vendeuse" dans une grande maison de l'époque. Par première vendeuse, je crois qu'on peut oublier nos vendeuses actuelles, car à l'époque, il s'agissait non seulement de vendre mais d'être aussi l'attaché de communication et de publicité de la maison.

IMG_0004

14 janvier 2014

Instants

Sans titreMinette et moi avons fait les soldes! Nous avons choisi toutes les deux!

Un livre d'occasion pour commencer, trouvé samedi chez les bouquinistes.

Ensuite, il a fallu choisir. Minette est toujours d'accord pour faire une canapé-party. Elle s'installe sur moi, je ne vois plus le livre en plus de ne plus respirer, je la repousse, elle tourne, choisit de s'installer sur "le machin", c'est à dire le livre.

-Bin, non Minette, je ne vois toujours pas le livre!

-Miaou!

-Minette!, on est deux sur le canapé on va bien y arriver!

Faire les soldes, c'est facile. Choisir ce n'est pas simple! Minette a pris son temps, elle a testé toutes les places possibles. Choisir sa place sur le canapé pour une canapé-party qu'on ne veut pas rater, ça rigole pas.

Sans titre-2Quand Minette s'est enfin décidée à s'installer à l'endroit le plus habituel, le long de mes jambes, j'ai enfin pu lire.

J'ai bien aimé, c'est gentil et souriant. Un roman qui parle de vendeuses de grands-magasins parisiens. Le style est très haché, ce qui fait que le texte est ouvert vers d'autres pensées. C'est un roman sympathique qui a sa manière dit que les vendeuses ne sont pas des objets, des potiches et encore moins des boniches.

Le style est très haché au début; quand on arrive à la fin, le texte était en train de changer et de perdre son style hachuré. Du coup, j'ai senti une certaine supercialité en posant le livre. Au total, cela reste une lecture plaisante.

23 janvier 2014

Sinon!

Sans titre-2Je balade ce livre dans mon sac, j'en lis une ou deux pages par jour. Je l'ai trouvé pour 2 euros chez les bouquinistes. On lit dès le début que le livre et le film n'ont que le titre en commun.

Ce livre a reçu un bon acceuil jadis. Publié en 1926, la première fois. Adapté au cinéma en 1937. Je le trouve en 2014, barbant à lire, monotone. Supposé avoir du mystère et peut être aussi parler de la vie! Je n'en suis qu'à la moitié d'un 240 pages et franchement, c'est barbant!

La narration est bancale. Il y a ce "Je" qui parle d'autres gens. Banal. Sauf qu'ici, c'est mal venu et ça fait jugement.

Je ne suis pas sûre de lire jusqu'au bout, il ne se passe rien, ça c'est une chose. Ce n'est pas plaisant à lire, ce texte n'est pas intemporel.

Normalement j'avais élu ce livre au rang des livres-ciné! Cela me prendre un peu de temps pour vaincre une lecture insipide avant de me faire une petite scéance tranquille ciné-club avec Minette!

2 février 2014

Aussi

Sans titre-2Un bon livre pour un samedi canapé-chat-livres. C'est amusant, l'auteur a eu du culot. Royauté et religion en prennent pour leurs grades, les femmes aussi (reines ou servantes, épouses ou maîtresses). Tandis que la France est réduite au statut de fonctionnaire de Dieu, naissance, vie, sexualité et mort à date et heure précises. Un des chapîtres est illustré par ce "Avant l'heure, c'est pas l'heure. Après l'heure, c'est plus l'heure".

Derrière l'amusement, on trouve une sorte de critique ou d'ironie quant aux héros des temps modernes (les attachés de communication par exemple), quant aux repères dans cette société. Et Dieu que vient il faire dans ce texte amusant, il règle les problèmes des Hommes à sa manière.

C'est de l'humour que l'on peut qualifier de "pince-sans-rire", je pense. Une plaisante lecture où le lecteur se doit d'avoir l'esprit largement ouvert.

15 février 2014

J'ai bien aimé

Sans titre-1J'ai bien aimé cette exposition "25 ans d'animation Pixar". Pixar propose des films d'animation, du genre "Ratatouille", " Les indestructibles" avec la célèbre Elastique-girl, et d'autres films. A public large, popularité de l'exposition très large. Il y avait du monde dès le matin, je suis arrivée non pas à l'ouverture (10h) mais à 10h41 précisément, j'ai regardé l'heure. Une heure plus tard, j'ai enfin pu parcourir l'exposition. Parcouru parce qu'il y avait du monde et que ce n'est pas facile de s'attarder.

On admire quantité de dessins, peintures et collages qui montrent le travail, pour reproduire le mouvement, il y a des planches qui montrent que les dessinateurs ont travaillé.

J'ai vu le zootrope mais pas l'autre animation "artscape", trop de monde!

Une belle exposition. Une victime du succés à la limite de l'inaccessible.

 

6 avril 2014

Dimanche!

Sans titre-7Une semaine boulot-dodo, certes mais avec quand même cette lecture. Il y a quelques temps, j'ai donné un coup de coude dans une pile de livres, c'est celui-ci qui a attéri sur ma tête. Déplacé de multiples fois, je n'avais pas encore pris le temps de le lire.

L'histoire; il s'agit d'un fait divers réel, une famille assassinée dans sa maison, on part ici au Kansas en 1959. L'auteur nous raconte qui était cette famille, qui étaient les tueurs, comment la population réagit. J'ai lu que l'auteur avait été profondément touché lorsqu'il a travaillé sur son livre. Lui-même avait eu une enfance proche de celle d'un des auteurs du crime. L'un est coupable d'un quatruple meurtre, l'autre a trouvé la littérature. Il a rédigé un bon livre, malgré la multitudes de questionnement qu'il a probablement rencontré, il n'a diabolisé personne.  

22 février 2014

Un bon samedi!

Sans titre-2

 

J'avais repéré une exposition, donc me voilà partie. Pour commencer, un repas simple dans une brasserie (rumsteak sauce au poivre et frites), simple mais excellent. Puis je suis allée voir l'exposition.

Sans titre-1

 

Gustave Doré (1832-1883) est un peintre, graveur, sculteur, illustrateur. Ces illustrations d'oeuvres littéraires (entre autres: La Fontaine, Cervantes, Perrault, Rabelais...) ont fait sa renommée tandis que peintures et scultures ont moins touché le public de son époque. Il s'agit pourtant d'un artiste talentueux, bien qu'autodidacte. L'exposition est très plaisante. Explorant diverses techniques et divers genres, il a souvent été une source d'inspiration au cinéma et préfigurera même la bande dessinée. Il a laissé une volumineuse oeuvre.

6 avril 2014

Hier!

Sans titre-1Je me suis trompée de date quant une exposition que j'avais prévue de voir! Cela m'a désorganisé!, sourire!, on croirait bien que je suis organisée. Je le suis, un peu, parfois, surtout quand je travaille! Bon du coup, puisque l'expo visée n'était plus au programme (elle va seulement commencer tantôt, j'avais vu une affiche prévisionnelle!), j'ai pris le bus et je suis allée me trouver un banc!

Sans titre-2Pour lire.

Sauf que... Hier, la météo et mon vestiaire n'était pas en harmonie! J'avais oublié avant de trouver une place dans cette foule de gens, qu'il me fallait une bouteille d'eau. Enfin bref! Le jardin des Thuilleries était en beauté hier, les arbres, les tulipes dans la gamme des rouges, les gens qui flânent, les enfants qui jouent. C'était vraiment plaisant!

Au final, j'ai repris le bus un peu tôt, pour aller me rouler décontractée sur le canapé avec Minette et de la lecture.

Sans titre-3Deux courtes nouvelles, ce n'est pas du genre optimiste, il s'agit de deux courtes nouvelles qui parlent de la famille, de la distance et de la séparation, chacun vit sa vie et éloigne les membres d'une famille.

Sans titre-4Dans un autre genre, j'ai lu ces deux petites nouvelles japonaises avec du plaisir.

Le thème de départ est le deuil, quand un être cher part, toute la vie change ou est déboussolée. C'est délicat et optimiste.

Minette était aux anges, je te fais un calin, je fais un calin à ton livre. "Minette, pousse ta tête, tu ne sais pas lire!". Minette en ce moment surveille le programme tv, j'achète le moins cher qui dure!, souvent ce truc est abandonné sur la table. Minette, en ce moment ne fait sa sieste uniquement si elle peut se poser sur ce rectangle posé sur la petite table de salon!

210bMinette, en ce moment, ce n'est pas trop compliqué.

Sans titre-5Pour finir le samedi, la lecture suivante était amusante! Il s'agit de nouvelles très courtes. Certaines ont mieux traversé le temps que d'autres, mais l'ensemble reste amusant et drôle.

Ensuite, dodo. Réveillées tôt, Minette et moi. Les rues ont été si bien lavées, que la première chose qui m'est venu ce matin en tirant les rideaux: "zut, il pleut!"

2 février 2014

J'ai bien aimé...

Sans titre-1... lire ceci. Deux très courtes nouvelles qui se lisent aisément. On pourrait, je pense, résumer par "quand on a faim (estomac vide et/ou tête vide), on est prêt à faire n'importe quoi, surtout dans une société où il y a tant de choses à consommer qu'on ne sait plus quoi choisir.

Ce petit livre est illustré, ce qui met l'accent sur l'onirisme ou plus simplement sur l'imagé.

Je ne connaissais pas encore cet auteur, ce bref récit est une bonne entrée dans son univers.

11 mars 2014

Ca va bien!

IMG_0002dAprès un week-end d'astreinte à demi travaillé, à demi mais c'était dense!, à demi travaillé parce qu'un collègue et moi même avons eu une idée. Faire l'expérience du week-end partagé. On n'a pas encore discuté mais comme j'ai travaillé sur une amplitude de 15h sans repos, je suis plutôt satisfaite d'avoir été mise de côté tandis que quelqu'un prenait la suite. Les super-héros ont une limite de consommation inscrite quelque part dans leurs costumes. Cela veut dire qu'on est plus souvent d'astreinte d'après notre expérience, certainement, mais c'est à dimension humaine. Dans un service calme, on peut manger 60heures d'astreinte sans frémir, surtout si on est jeune. Chez nous, il y a une potentiel à ne jamais s'arrêter, et on n'a plus tous l'âge de la découverte! Sourire.

Sinon.... J'apprécie la météo, comme tout le monde.

8 février 2014

Livre-ciné!

Sans titre-1J'ai hésité le temps de boire mon café ce matin car je n'ai pas fini la lecture du livre. Mais j'avais ciblé une scéance vers 13h dans le quartier Opéra, en VO sous titrée, je me suis dit que voir le film ne parasiterait pas ma lecture. Les films sont des adaptations et le sous-titré n'est jamais bien précis.

J'ai bien aimé voir ce film. L'histoire d'une fillette de 10 ans dans l'allemagne de 1939. C'est triste mais sans jamais tomber dans le larmoyant. Le personnage-rédacteur, c'est la Mort; et au fond c'est le personnage le mieux placé pour raconter une histoire où ils y autant de morts. C'est triste mais c'est une belle histoire emplie d'espoir dans une période de l'histoire très dure. La fillette arrive dans une famille d'adoption, elle ne sait ni lire ni écrire. Si la nouvelle maman s'avère être une femme rude rompue à la vie de pauvres, le papa saura apprendre la lecture à l'enfant. Ainsi la fillette trouvera les livres et les mots.

Je n'ai pas terminé la lecture, ce livre est cité comme un livre qui convient à un public large, jeunes et adultes. Dans la salle de cinéma, le public était à cette image. Je pense que je peux résumer mon impression en grandes lignes. L'espoir vient lorsque l'enfant apprend. Apprendre la vie, apprendre à lire et à écrire. En se cultivant, la douleur de ce qui s'est passé avant laisse la place à la vie, à l'apprentissage de la différence, et sans doute à d'autres choses constructives.

 

4 janvier 2014

Une visite sympa

Sans titre-1Attirée par l'exposition d'automates, j'ai découvert le musée de la magie. Un lieu charmant, une cave voutée. La salle aux voûtes date du XI ième siècle et servait d'asile nocturne aux voyageurs car les portes de Paris fermaient le soir. Dans le quartier, pas très loin du musée, on peut d'ailleurs voir un reste du mur d'enceinte de Philippe Auguste vers 1190.

La visite du musée est ludique, objets, tableaux, illusions d'optique, un mini-spectacle plaisant. Un public familial. Un bon moment.

31 mai 2014

J'ai bien aimé lire...

Sans titre-1Je viens d'achever cette lecture. J'ai bien aimé. Il s'agit d'une série d'histoires ou d'anecdotes concernant des époques très lointaines. L'auteur farfouille dans les archives pour nous proposer ces histoires.

L'histoire sur la morgue, ce que de nos jours on appelle, l'institut médico-légal, là où passent tous les morts anonymes retrouvés, c'est un excellent passage! Nous, qui regardons ces séries américaines, où certaines scènes de cadavres peuvent être gore,... hum! Donc jadis, quand ils retrouvaient un corps, ils étaient proposés à la vue du public afin qu'éventuellement une famille récupère son perdu; s'ils retrouvaient un squelette avec juste quelque éléments de reconnaissance, un mystère naissait. Il y avait un couvent, spécialisé dans les inhumations des anonymes, selon les rites de l'église. Par contre le passage du livre, concernant les cimetières, principalement le commerce des corps et des tout objet qui aurait pu se trouver dans une tombe, y compris le bois des cercueuils qu'un menuisier transformait en meubles (dénoncé, il connut des problèmes avec la justice!); même mort difficile de trouver le repos. L'éternel n'y peut rien faire parfois.

Le livre évoque d'autres choses, comme un incendie, qui a ravagé un bout de quartier et de bateaux se trouvant sur la Seine, incendie simplement du à la manière de prier. Le livre s'achève sur les charlatans, ceux qui proposaient des remèdes alors que la médecine n'existait pas en vrai!

J'ai bien aimé cette lecture, des petites histoires dans la grande histoire, on trouve un aperçu de la vie de jadis. C'est plaisant de lire ce genre de livre concernant Paris, ville où il y a évidemment des autochtones, des nés là, mais que la plupart vient des banlieues, provinces (mon cas) et étrangers.

 

 

7 juin 2014

Cuisson

002bL'autre jour, j'étais dubitative. Je le suis encore. Celui-ci avait une meilleure allure que le précédent, mais il était un peu trop sec.

Dans celui-ci, j'avais ajouté un sachet vahiné de praliné, autrement dit il y ces petits morceaux de noisettes et d'amandes un peu caramélisées; question goût, ce gâteau a eu du succés malgré ce défaut d'être trop sec. Idéal pour une pause café.

Deux de mes collègues m'ont dit de ne pas changer la température du four mais de ne pas respecter le temps de cuisson indiquée par la recette, au lieu des 40 minutes indiquée, de compter plutôt 30 minutes. Je note!

 

7 juin 2014

Sourire

Sans titre-1C'est plaisant à lire. L'auteur laisse le lecteur libre. Libre d'y croire ou pas. Il s'agit de ces histoires qui n'ont pas trouvées de solutions scientifiques, du genre que l'ont trouve partout dans toutes les régions.

Les histoires de fantômes, ce n'est pas un art français. L'église a toujours été très active pour occulter tous les rites païens. Et de tous les temps, ce qu'aucune des sciences ne pouvait expliquer, c'était autre chose, le diable étant le plus incriminé. Que ce soit Paris, la France ou le Monde tout entier, il est évident de considérer qu'il y aurait à ce jour des milliards de milliards de fantômes présents! Le nombre d'ancêtres est si important, la quantité de ces gens morts violemment par les guerres, les excussions ou tout simplement par la vie ordinaire.... il est difficile de chiffrer le nombre de fantômes possibles!

C'est sympathique à lire.

 

10 juin 2014

Hop

Sans titre-1J'ai suivi l'idée proposée sur ce livre. Pas mal. Par contre en respectant, les temps de cuisson, mon aubergine n'était pas assez fondante comme je préfère. C'est reparti au four après la photo, puis mes tomates cerises ont fait un tour dans le plat dans le four juste le temps qu'elles s'ouvrent. Et j'ai apprécié. L'acidité des petites tomates a contre-balancé bien mieux cette tartine d'aubergine au fromage.

10 juin 2014

Sympa

Sans titre-2Cela se lit très bien surtout lorsqu'une après-midi s'annonce pluvieuse.

Le personnage doté d'un prénom et d'un nom qui lui ont rendus l'enfance un peu difficile, occupe un poste difficile à vivre lorsqu'on apprécie la lecture. Il travaille dans un atelier de récupération, sa machine broie sans pitié tous les livres invendus qui ainsi repartent au point zéro de leurs existences. Poussière, tu redeviendras poussière; les livres eux redeviennent papier.

Notre héros récupère les feuillets qui ont échappés à la broyeuse, il les lit le matin dans son Rer. Si l'on prend les transports parisiens invaraiblement toujours à la même heure, c'est vrai pour l'avoir vécu, on peut croiser d'autres tout aussi invariables. Ainsi, notre personnage trouve de la considération à lire ainsi tout et n'importe quoi, il trouve un public.  Et il trouve autre chose...

15 mars 2014

Jamais deux sans un petit troisième!

Sans titre-2

 

Le troisième mot gratuit de la journée! J'ai donc visité les appartements de Victor Hugo, ou sans doute, une sorte de reconstitution. Ses goûts en décoration sont du genre pesant et lourd, si vraiment il a vécu dans ce genre de décors, il a le mérite d'avoir pu respirer!

Bon!

Victor Hugo, je ne le connais pas en vérité! Il reflète le compliqué.

Sans titre-1

J'ai lu ce mini livre, il s'agit d'un discours de V.Hugo (1802-1885) a proposé devant l'assemblée de la II ième République. Cet homme semble t'il était un royaliste dont le discours a fini par pencher à gauche. Il était un royaliste mais de ceux qui selon le langage moderne "ne marche pas sur les autre". Il a été déçu par la Monarchie et peu convaincu par la République. Dans ce petit discours, il dit qu'en 1848 (moins de 100ans après la prise de la Bastille), l'aisance matérielle ne suffit pas! Il parle selon son époque. Il serait étonné de voir que son discours reste totalement d'actualité!

Victor Hugo, je ne le connais pas. Ecolière, j'ai lu "les misérables" et "Notre Dame de Paris". Comme tout le monde, enfin, aussi par les films!, ou désormais une comédie musicale.

 

15 mars 2014

Sinon!

Sans titre-1zJ'ai lu un bon livre.

Allemagne dans les années 30, avant certains mais ils commencent à pourir la société, une société appauvrie. Les gens qui devraient avoir une vie tranquille sont jetés à la rue sans préavis. Les "parachutes dorés" de l'époque y vont bien depiétiner les autres, principalement les plus pauvres.

Ce roman parle de la vie ordinaire. Cet auteur (mort en 1947) a su proposer ici un texte totalement contemporain! Alors qu'il s'agit d'un roman qui doit daté de 1932, difficile à savoir. Sans compter un détail, tout le long du livre, il y a le Môme et Bichette. On sait bien le nom du môme mais le nom de Bichette est peu annoncé.

Le môme et Bichette était deux amoureux qui ont eu un mouflet, ils vivaient leur vie de jeune couple dans des conditions très difficiles, plus la vie continuait, plus ils descendaient. L'aspiration vers le fond, pourtant ils ont su ne pas faire parti de la lie. Honnêtes et intègres. Le roman s'achève quand l'homme, le Môme est dévasté et que seulement l'amour, Bichette, le redresse.

On en voudrait plus, en même temps pas tant que ça, parce qu'on sait bien le désastre qui a suivi, Bichette n'était probablement pas tout simplement une fille d'ouvriers, son nom fait penser que la suite était pire encore.

C'est un très bon livre.

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>
L'escapade de Roseline!
Publicité
L'escapade de Roseline!
Archives
Derniers commentaires
Publicité