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L'escapade de Roseline!
30 novembre 2013

Lectures en prévisions!

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Tandis qu'on fête les dix de notre canalB!, nous on galère beaucoup depuis un moment pour comprendre comment l'utiliser! Moi j'y suis depuis environ fin 2005 ou 2006, je ne me souviens plus trop. J'ai eu une belle quantité de blogs, effacés, ensuite j'ai eu envie de recommencer... etc...

On évolue tous!

Sourire ;-)

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30 novembre 2013

Et bien sûr

Sans titre-2Comme nous arrivons au mois de décembre, certains ont prévu un calendrier de l'avent. Avec ce livre, même en lisant une histoire chaque soir, je ne tiens pas, dommage parce que comme calendrier de l'avent je pense que ce serait extra! Une petite histoire par soir....

30 novembre 2013

Un peu de lecture

Sans titre-1Il y a quelque années, lorsque j'ai lu "Seul dans Berlin", je n'ai pas cherché à en savoir plus sur l'auteur, je le pensais contemporain et vivant et j'étais persuadé que ce livre était récent.

L'auteur est mort en 1947, ce qui le rend un peu moins actuel et vivant!

Lorsque j'ai commencé "le buveur", je le trouvais encore bien présent, sans doute sa manière d'écrire. Encore que "le buveur" soit un peu aSans titre-3utobiographique, l'auteur était alcoolique et morphinoman.

Bien sûr, je ne lis pas les livres en version originale, mais en version passée par la traduction.

J'ai choisi ce second livre de cet auteur par hasard, juste parce que dans le rayonnage d'une librairie, j'ai aperçu le nom de cet auteur et que me souvennant de mon erreur, ma main ne pouvait que vouloir attraper cet autre livre.

En lisant, sur internet, il s'agit d'un auteur allemand qui a fait le choix de rester en allemagne, pendant les tristes années. Il semblerait que "Seul à Berlin" trouve son origine dans une histoire vraie, un couple a vraiment été exécuté pour acte de résistance. Le livre a été publié en 1947 et continue à faire son chemin.

"Le buveur" a été publié en posthume. Ce livre commence par l'histoire d'un homme bien établi, une vie bien rangée. Il déraille, il connait la prison et un établissement de santé...

Il me reste la fin à lire. C'est dense, c'est bien écrit.

30 novembre 2013

Forcément

IMG_0001Compte tenu d'une de mes dernières lectures que j'avais évoqué, je ne pouvais que faire cette scéance de ciné-club!

Un film en noir et blanc plaisant à regarder, pas démodé ou vieilli, à ma grande surprise. Mais forcément, pas tout à fait ce que j'ai lu.

Reste un bon moment de ciné-club et de lecture.

30 novembre 2013

Hello

Sans titre2Mon ouvrage avance mais bien lentement. La semaine était bien emplie de travail, d'un peu de lecture, d'une tarte aux pommes aussi.

Sans titre1La vie toute simple.

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18 novembre 2013

Bon!

Sans titre-1

Bon d'accord, mon ouvrage n'est toujours pas terminé, mais avec ce livre trouvé dans la librairie du musée, quand on a du bon en main, cela fait plaisir.

D'abord quand on lit le récit de Casque d'or, c'est de l'ordre du bof. Franchement, la minette n'avait rien à raconter, ce récit est totalement creux et sans interet. Mais il y a le second récit, celui d'un homme.

En lisant le récit du policier, j'ai saisi pourquoi j'étais mitigée après la lecture du récit de la Dame.

Elle est froide et un tantinet narcissique probablement (cette deuxième réflexion n'étant que mon appréciation personnelle! Evidemment!). Le récit de l'homme montre beaucoup de sensibilité et d'interet sur ce qui l'entourre. Tandis que la femme a redigé ce récit, sur demande et avec l'aide de quelqu'un, elle ne fait que justifier, que de son existence propre; on n'y trouve pas d'élan promotteur. L'homme lui a rédigé spontanéement sur un événement qui l'a choqué au point d'avoir besoin de reposer quelque part ses objectifs dans sa fonction, c'est une recherche de sens.

Si la femme a été une starlette de son époque, il existe même un film que je n'ai pas encore eu l'occasion de voir, mais c'est envisageable pour un moment de ciné-club, le récit de cet homme a dormi dans un carton d'archive. L'introduction du livre signale que la presse de l'époque ne faisait pas uniquement le compte-rendu de l'actualité, il fallait aussi de la sensation, du scoop ou plutôt du buzz comme on dirait aujourd'hui!

Je n'ai encore pas achevé la lecture du livre, l'homme présente des articles de presse qui on retenu son attention. Je lirais cela tantôt.

Il est sympa ce livre, ouvert si l'on veut en savoir plus, sur la vie fin XIX et début XX; ce sont deux récits de plus de cent ans; l'argot et le langage ont un peu changé, d'autres choses aussi forcément.

En 2013, on n'utilise plus le mot "apache", le sujet reste cependant bien contemporain!

16 novembre 2013

Je continue

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CanalB est embêtant, on ne peut plus faire de mise en page propre!

Bon ceci dit. Donc vers 1858, la maison Worth a posé la définition de ce qui sera depuis la haute couture. Bien sûr cela s'adresse aux riches, à l'élite; c'est tout un secteur économique cependant qui tire tout un monde vers le haut. S'il y a des vitrines désormais aux magasins, pas mal de ces maisons ont leurs ateliers logés dans l'étage ou l'arrière-cour. Une ligne dans les couriers évoqués fait état de ce que vivent les petites mains, pour faire face aux commandes des riches clients, il y a tout un savoir-faire et des "drames" qui se jouent, il y a tout un monde ouvrier derrière ces vitrines. C'est le luxe, côte à côte, on trouve les couturiers, les chausseurs, les bijoutiers, les parfurmeurs, et ce que l'on connait un peu moins aujourd'hui, les chapeliers.

En 1787, on saute un peu plus loin dans les époques, mais, j'ai lu qu'un arrêté du roi avait réglementé la protection des soieries et dorures dans le royaume; la révolution a d'abord mis un peu de désordre, mais dès juillet 1793, on retrouve l'idée de protéger les auteurs et artistes. Il faudra du temps mais les créateurs seront protéger par la loi. On retrouve ici une autre idée, la photographie. Certaines maisons ont déclaré leurs modèles avec des échantillons de matières et des photographies, des photos prises sans soin. Les premières photos de mode?, avant même la presse et les publicité?

En admirant cette garde-robe qui a une centaine d'année, j'ai constaté que l'on portait encore la même base.

Est aussi citée, la caricature. La mode parfois propose des trucs fantaisistes. A cette époque où la femme abandonnait ses carcans et ses corsets, la dérive venait. Sourire. La femme devait ressembler à une femme malgré tout.

Et la femme de 2013 que je suis, avec son jean, son tee-shirt et son pull, a sourit d'avoir passé un bon samedi. Les mains dans les poches, je suis repartie vers mon siècle tranquillement.

 

16 novembre 2013

Un samedi!

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Un samedi plaisant. Je suis une fashion-victime, jean-tee-shirt ou jean-tee-shirt et pull!

Mais j'ai bien aimé ma balade. Nous avons ce jour férié, le 11 novembre, cette exposition nous fait voyager vers cette époque.

La garde-robe est celle d'une femme qui a vécu, née en 1881 et partie en 1969. Sa mère était couturière. "Couturière en robe" nous dit le texte, quand on voit à quoi ressemblaient les robes jadis, on comprend bien qu'une couturière soit spécialisée! Une de deux soeurs était "première vendeuse" dans une grande maison de l'époque. Par première vendeuse, je crois qu'on peut oublier nos vendeuses actuelles, car à l'époque, il s'agissait non seulement de vendre mais d'être aussi l'attaché de communication et de publicité de la maison.

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16 novembre 2013

Plaisant!

13 novembre 2013

Une visite

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L'art déco concerne la période reconstruction après la première grande guerre. Il fallait reconstruire alors que le mode de vie avait changé, il y avait les grands magasins, le développement des modes de transport, de nouveaux loisirs, les cinémas et spectacles, le jazz est arrivé avec les revues, les femmes s'émancipent, les corsets disparaissent et les cheveux raccourcissent; de nouvelles techniques et matériaux permettent de produire et construire différemment. Ce sont les "années folles", période d'optisme festif. Et il y a un fort désir de redynamiser un style français et de le promouvoir.

En 1925, se déroule une exposition, "véritable vitrine des produits français" (lu dans un résumé). Ca marche puisque l'art déco s'exporte.

Mais viendra la crise de 1929 et la montée d'idéologies qui pousseront le monde dans l'abîme d'une nouvelle guerre. En 1940, après la défaite française, l'art déco perd son aura, trop lié à l'art officiel et à l'echec, il sera discrédité en même temps que la IIIième République. L'image de l'art déco est lié au luxe et à l'invidualité, la crise survenue en 1929 oblige à réfléchir en "social". L'art déco aurait même pu tomber dans l'oubli total si depuis il n'y avait pas eu des passionnés.

Sans le savoir forcément, nous croisons au gré de nos balades des constructions art déco dans beaucoup de villes. Cela fait parti de notre patrimoine.

 

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