Mouai, c'est bon mais il manquait un petit truc:

J'ai d'abord suivi la recette du livre et bon c'était fade et pas extra. J'ai ajouté du cumin mais cela n'a pas suffit. Le poulet est bon joueur en cuisine et peut s'associer à tout mais comme c'est une viande neutre, il faut vraiement trouver le bon équilibre pour faire de cette recette quelques chose qu'on adopte!

J'entendais souvent qu'on parlait de ces gaz de schistes! Je n'avais jamas pris le temps de savoir ce que c'était.

Quand des agriculteurs s'occupent de faire du bio, il y en a d'autres qui s'occupent de mieux!

Pour obtenir ce gaz de schiste, il faut juste accélerer la marche du temps artificiellement, faire en sorte que des roches se frottent bien et s'échauffent; pour que le processus soit accélérer, il faut envoyer dans le sous-sol des produits. Forcément, demander au sous-sol de produire ce qu'il fait en 100 ans normalemnt, il faut le booster ce feignant!

Sauf qu'en plus du désordre dans le sous-sol que cela impose, autant dans la friction de roche qui n'est pas naturel, que dans l'injection de produits non naturellement présent, c'est qu'il faut forer loin sous nos pieds, loin, tellement loin qu'on déstabilise ces fameuses plaques, celles qui bougent. Autrement dit, en plus de l'évolution naturel de la terre, il ne serait pas incongru de demander si les séismes et tsunamis ne ont pas induit par les spéculateurs!

   Ca c'est tranquille et simple!

Mon avis est qu'on faire plus simple!, cette fois-ci, j'ai suivi le shéma du livre. Faire dégorger les aubergines, déjà ça, je peux zapper la prochaine fois puisque dans les superettes parisiennes, les légumes sont ... ou pas. Donc... Faire revenir les aubergines à la poèle avec un peu de matière grasse, sans les cuire complètement, elles vont se faire une four-party. Penser à faire préchauffer le four à 200°.

J'ai fait ma sauce tomate avec des tomates, certes ce n'est pas la saison, mais vu que ce n'est jamais la saison d'acheter de la vraie tomate dans mes superettes, cela ne fait pas de différence! J'ai donc mis des vraies tomates, de l'oignon, de l'ail, des aromates (persil, herbes de provence), du basilic frais, l'assaisonnement. Vers la fin de la cuisson, j'ai ajouter de la tomate concentrée en tube, forcément, il fallait quand même retrouvé un peu de goût de tomate! J'ai mis un cube de sucre qui a permis d'équilibrer le goût.

Bon dans ce gratin d'aubergine!

Dans le plat qui va partir au four, on dispose une couche d'aubergine, puis de sauce tomate (maison ou pas), on coupe une ou des boules de mozzarela en tranche que l'on dispose dans le plat, on saupoudre de parmesan râpé, on alterne ainsi les couches.

On met dans le four chaud, on surveille, si on a pensé à ne pas trop cuire les aubergines dans la poèle, il faut compter 30 minutes; cela permet aux fromages de sentir bon et de s'étaler.

Comme il me restait de la sauce tomate maison qui mine de rien était plutôt bonne, j'ai fait ensuite une pizza aux légumes.

Un fond de pâte pizza de chez momop! Une courgette et un poivron.

La courgette et le poivron sont allé se faire une poèle party. Je fais partie de ceux qui épluche la courgette, je n'aime pas cette peau épaisse dans ma bouche et je n'aime pas ce goût de vert trop présent. Donc ma petite poèle j'ai commencé avec un peu d'huile d'olive, ma courgette et le poivron découpés en petit sont allés se faire précuire à feu pas trop fort, il faut que les légumes restent eux même, je ne voulais pas  une compotée. Une fois satisfaite sur cette précuisson, j'ai laissé refroidir.

On étale cette pâte sur la tourtière et on y va, j'ai étalé ma sauce tomate maison, j'ai découpé de la mozzarela, mis les courgettes et poivrons, du parmesan (je n'en avais plus assez, cela manque un peu de ce goût pour cette fois ci, mais l'idée est là!)

Ensuite au four pendant 15 minutes.

Dans la gamme des livres pas aisé à lire mais qui proposent une vision d'un métier autre que celui du quotidien, j'ai opté pour celui-ci. Je n'en suis qu'à la 52ième page sur les 243 proposées. Donc on verra bien si j'ai fait le bon choix!

Ce n'est pas un roman! Pas forcément aisé à lire pour cause de vocabulaire spécifique mais c'est très interessant.

Dans ce que raconte ce livre, pas mal d'idées n'étaient pas mauvaises, sauf que... C'est de l'humain que l'on retrouve dans chaque décision que le livre décrit et dans la réaction et le suivi.

Vous savez dans les conversations, on dit parfois "y'akafaire ça ou ceci!", oralement c'est simple, dans la réalité, cela ne marche pas forcément.

L'exemple commence avec cette école qui avait mis à l'amende les parents qui récupéraient les enfants avec du retard; idée simple. Cela n'a pas marché, et ils ont constaté que du coup, ils y avait encore de parents en retard qu'avant. L'amende coutait moins cher qu'une nounou!

Ou on trouve aussi cette idée de remunérer les bénévoles dans les associations. Cela n'a pas marcher, et il n'y avait plus de motivation et donc moins de bénévoles. Soit on fait du bénévolat, c'est gratuit, c'est de l'altruisme, soit on fait une activité salariée donc il faut gagner bien plus que ce qui est proposé.

Ce sont les exemples qui touche le plus à l'argent. Mais il y a aussi l'exemple des fameux "QCM", ce sont donc ces sujets de concours ou d'examen des étudiants, là où il faut cocher la bonne case sur 5. Sauf que cela s'est avéré pas bon, parce que les étudiants ont appris à juste apprendre à cocher la bonne case. Ils n'ont pas chercher à apprendre tout ce qu'il faut autour. Cet apprentissage du par coeur n'a pas favorisé la préhension de tout ce que cette réponse imposait. La compréhension vient d'associer les connaissances apprises par coeur entre elles. Les "QCM" ne permettent pas aux apprentis de faire le lien spontanéement.

C'est une lecture interessante.

Arriver à remettre l'humain au centre des préoccupations humaines, ce n'est pas aisé en période de disette économique qui a pour fée penchée sur le berceau la fée technologie!

Nous vivons une période compliquée et difficile. C'est un cap à passer. Mais ça va être dure.

Entre la transition énergétique et ces pauvres gens qui errent dans les camps de réfugiés comme des clochards alors qu'ils pourraient une vie plus aimable... Tout semble compliqué actuellement.

Etre humain, c'est sans doute ce qui a de plus compliqué depuis toujours, depuis la préhistoire probablement. En prenant cette histoire de ces deux jumelles aux destins très différents, l'auteur nous rappelle qu'il ne suffit de pas  naître avec des gènes humains mais qu'il faut en plus beaucoup plus! C'est une des définition de l'humain qui peut se résumer ainsi: "plus, plus et sinon...plus".

Cela se lit en 30 minutes maximum. C'est une nouvelle qui présente un monde anticipé, cela a été écrit en 1953.

En 2016, nous en sommes pas encore arrivé à ce stade proposé dans le texte mais on en ai pas si loin au fond.

Le texte propose une société où il n'existe plus que la publicité et la consommation; les emballages des produits que nous avons tous contiennent un disque programmé qui vante les bienfaits du produit présent sur l'étagère. Ils sont programmés, ainsi le matin, le paquet de céréales chante qu'il est l'heure de savourer ce bon produit; à d'autres heures, c'est le produit de beauté ou le produit ménager qui chante son hymne.

Le silence n'existe plus. La seule création, dans ce monde ainsi présenté ne concerne que ces publicités braillardes dans chaque foyer; les jeunes ne connaissant rien d'autres sont fans et en redemandent. Ils ne connaissent que ça.  Pour les autres, ceux qui ont connu une autre vie ou ceux qui aspirent à la liberté, voire au silence, sont envoyé en prison.

Une bonne lecture où l'on trouve ce qui peut advenir quand l'humain n'est plus pris en compte.

J'ai apprécié ceci

Un voyage sans bouger du canapé avec ce recueil de nouvelles se situant au Caire. Les plus anciennes nouvelles sont datées de 1962, les plus récentes sont de 1984. L'auteur nous a quitté en 2006, il ne s'agit pas du Caire de nos jours.

Certains personnages sont en difficulté, cela ne se termine pas bien parfois. Confrontés à leurs représentions du monde; dans la première nouvelle, le personnage manque d'ouverture à ceux qui ne lui ressemblent pas. Ce qui m'a plu, c'est que l'auteur a raconté des histoires mais en laissant le soin à chacun d'en penser ce qu'il veut ensuite.

La nouvelle qui a donné son nom à ce recueil. Lorsque j'ai achevé sa lecture, il faisait beau, j'étais assise sur un banc, et je n'ai pas percuté sur le moment. Dépitée de ne pas saisir l'histoire et n'ayant plus de lecture, j'ai quitté le banc pour rentrer et c'est en marchant que j'ai capté. Ou que la représentation que j'ai du monde trouve une explication à cette énigme. En pensant à Noé (celui de l'arche qui a voulu sauver tout ce qui existe), je me suis dit que si c'était la bonne piste de compréhension, alors cette histoire était très cruelle.

Un bon moment de lecture.