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L'escapade de Roseline!

3 mai 2015

Blog en repos!

Je vous aime bien! Mais j'aime aussi ma vie!

Je vous fait plein de bisous...

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18 avril 2015

Un samedi sympatique!

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Profitant de ce samedi printanier, j'ai opté pour une balade citadine. Je suis allée visiter une petite exposition. La Tour, je l'avais déjà visité. (Ici)

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L'exposition. Le Moyen-Age, à table.

Si dans l'antiquité, manger allongé (à la romaine) était courant, au moyen-age, on mange assis à table. les tables telles qu'on les connait n'était pas encore fréquentes, ainsi il fallait mettre la table, dresser la table, c'est à dire poser une planche sur des tréteaux. Les expressions sont restées tandis que le mobilier a évolué. Le linge de table date, la nappe était blanche souvent pouvait avoir sur les bords des broderies, les sets de table existaient, quand aux serviettes de table, cela d'abord été une sorte de toile disposée afin que les convives s'essuient les mains dessus, on ne devait pas salir la nappe, les serviettes de table individuelles sont arrivées finalement. Par contre on ne salissait pas la nappe, le sol n'était pas beau à voir après un festin.

Le manger à table était très hiérarchisé. Le commun s'asseyait sur un banc sans dossier, les sièges individuels n'étaient réservés qu'à l'élite, voire même avec à disposition un marche-pied afin d'isoler leurs pieds du sol froid. Lors d'un banquet, le haut personnage avait sa table surélevée sans vis à vis direct. Plus on descendait dans la hiérarchie, plus on était placé loin du haut personnage. Des plats en abondance étaient disposés sur la table, mais on ne mangeait que ce qui était placé devant soi, la disposition des plats dépendant également de la hiérarchie. 

A table, il y avait des couteaux, des cuillères, parfois des petits piques, mais pas encore de fourchette. On mangeait encore essentiellement avec ses doigts. Mais attention, il y avait le rituel du lavage des mains avant et après manger, sans connaissances scientifiques, le bon sens avait associé propreté et santé. Il y avait tout un code de bonne conduite à table, on ne patouille pas dans les plats puisque tous vont se servir, on ne papouille pas les animaux domestiques, on sait déjà que ce n'est pas propre quand on touche à la nourriture, etc. L'alimentation est d'ailleurs un gage de santé. Ainsi il est recommandé de ne pas se goinfrer. Il est recommandé de n'être ni obèse ni trop maigre. L'église s'occupe d'ailleurs de rappeler que la gourmandise est un grand pécher, presque un tiers de l'année est composé de jours de carême, le carême le plus important étant celui de Pâques.

Le commun ne disposant pas de cuisine dans le logement trop modeste mangeait froid ou s'il voulait manger chaud, il trouvait une taverne. La nourriture de rue existait déjà, on mangeait déjà sur le pouce.

Le pain était une base, on achetait son morceau de pain chez le boulanger. Les petits pains individuels se trouvaient plutôt en Sicile, on cuisait deux petits pains accolés, les deux convives assis côte à côte séparaient ces deux petits pains et ils étaient des co-pains. Le pain n'était pas salé, le sel coûtait trop cher, le pain n'était blanc que pour l'élite. L'élite utilisait les épices venues des lointaines contrées, le commun avait du sel, du poivre rond, des graine de moutarde, du vinaigre pour réhausser le goût, ceci dit les épices n'était pas utilisées pour le goût mais parce qu'on leur donnait des vertus médicinales. L'élite méprisait les légumes poussant dans le sol et se réservait les fruits poussant en hauteur. On mangeait une poire en fin de repas avant de manger du fromage, on pensait que le poids de la poire aidait à la digestion.

On mangeait ce que l'on connait encore. On mangeait aussi du paon, du castor, etc; à noter que sur les premiers livres de recettes de cette époque, on préconisait plutôt de choisir de l'oie bien meilleure. Le castor avait une particularité, lors du carême, on pouvait manger de la queue de castor considéré comme du poisson alors que le corps de l'animal était considéré comme de la viande!

Si le pain était une base, le vin l'était aussi. L'eau potable manquait, il fallait se servir directement dans les rivières, les fleuves, se servir d'une eau qui pouvait être polluée.

Enfin pour conclure, la brochure de l'exposition n'était pas encore proposée aujourd'hui. Mais cela permet de mesurer que nous vivons une époque bien plus confortable, quoiqu'on en dise, on est bien dans notre époque.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

14 avril 2015

Un peu de couleur!

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12 avril 2015

Dimanche

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28 mars 2015

Sympa!

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Une jolie petite exposition sur le thème de la lumière.

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22 mars 2015

Un week end reposant

Sans titre-2C'est aussi un peu de tv et de lecture, le tout vautrée sur le canapé en compagnie du chat bien sûr. C'est sympa d'avoir à la maison un chat qui aime lire à ce point.

Je n'ai pas fini ma lecture. C'est plaisant à lire. Le personnage, connu parce qu'une série tv l'a fait connaitre, d'ailleurs demain un épisode est proposé sur la 5. Cela ne gène pas la lecture.

L'action se passe en 1775, des troubles en France. Le prix du pain flambe, les pauvres s'agitent, les comploteurs ne sont pas loin. Une menace gronde. Ensuite, il y a un crime à résoudre, le roman que je ne vais pas raconté, c'est mieux de lire!

 

22 mars 2015

Biscuits!

Sans titre-1Sur une base qui se prépare en 5 minutes, même quantité de farine, de sucre en poudre et de crème fraîche épaisse.

J'ai mis un peu moins de sucre. Mon idée était de mettre un peu de miel et d'épices.

Sans titre-2Après hésitation, entre le mélange d'épices pour pain d'épices et le mélange dit speculoos, j'ai opté pour le second. Mes yeux sont tombés sur la boite de cacao.

Au final, j'ai obtenu de bons biscuits. Pas mal avec un thé!

22 mars 2015

Tranquille!

Sans titre3Un week end de repos, ça fait du bien!

En cuisine, j'ai fait simple. J'avais acheté un choudou dans la semaine, ce chou qui n'est pas complètement rond et qui est dit plus digeste. Je l'ai coupé en morceau et je lui est donné un premier bouillon dans de l'eau.

Dans une casserole, j'ai mis une mini barquette de lardons fumés, un verre de vin blanc, de la persillade, un peu de cumin en poudre et du poivre; dans la boule à thé, j'ai mis un peu de 5 baies, des baies de genièvre. Je n'ai pas mis de sel par goût personnel, puisqu'ont suivi deux saucisses de Montbeliard et une partie du chou.

J'ai laissé mijoter un peu le temps que les goûts se mélangent. J'ai obtenu un bon plat, presque de la choucroute.

15 mars 2015

Ce dimanche

Sans titre-1En bas de l'immeuble, il y a une boulangerie. Depuis quelques temps, le patissier s'amuse et propose l'éclair de la semaine. L'idée est ludique et sympathique. Pour la première fois, j'ai tenté. C'était bon mais pas abouti, je comprends ce qu'on entend dans certaines émissions, c'est bon mais il y a un mais.

L'idée reste très louable.

 

Sans titre-5Avec cette sympathique patisserie, quel thé choisir! J'ai opté pour la boite bleue, "Label impérial (mélange de thé vert de chine, arômes vanille, orange et canelle, racines de réglisse et baies d'argoussier). Ce thé est très bon, il a beaucoup de goût et j'ai saisi pourquoi la patisserie était bonne mais sans plus. Elle était bonne mais un peu fade. Sa couleur annonce quelque chose de fort en goût, ce n'était pas le cas.

Ceci dit! Cela ne m'a pas empêcher de passer un bon dimanche!

 

15 mars 2015

Simple!

Sans titre-2Ce midi, j'ai fait simple. Une petite salade et rillettes, de la baguette tradition qui était encore chaude lorsque je l'ai acheté. C'était bien bon!

Je crâne un peu, les rillettes sont maison!

Sans titre-1b

Hier en faisant les courses du quotidien, j'ai opté pour cette barquette de lapin prévu pour la poèle. Cela m'a donné, allez savoir pourquoi, de regarder comment faire des rillettes!

Il manque sur la photo, une barquette de deux saucisses de Toulouse, oubliée pour la photo, mais pas dans la recette.

Les rillettes, ce n'est pas light, c'est une cuisson de viandes grasses et de viandes maigres.

Dans ma casserole, j'ai mis un fin filet d'huile d'olive afin de dorer les morceaux de lapins. Normalement, il faut du saindoux, que je n'utilise pas habituellement et je ne voulais acheter quelque chose qui n'aurait pas eu d'usage. Ensuite, j'ai ajouté un oignon épluché mais pas coupé, quatre petites gousses d'ail épluchées, la côte d'échine avec son os, les trois tranches de lard frais. Des aromates (j'utilise une boule à thé pour les aromates secs, ici des baies, un peu de carvi et de cépes séchés), un peu de sel (pas trop! les saucisses pratiques pour moi sont déjà salées), du poivre. J'ai ajouté un demi verre d'eau et un demi verre de vin blanc (gros plant nantais).

Une cuisson longue à petit feu; j'ai mis ma plaque électrique sur 1 et j'ai laissé environ 3h30 avec le couvercle. Ma préparation était un peu trop liquide à ce stade mais j'ai mis la chair des deux saucisses (on les sort du boyau), et j'ai laissé sans le couvercle le temps qu'il faut pour que cela reduise. Ensuite il faut émietter la viande, disposer dans un plat ou une terrine en tassant un peu et verser le reste de liquide dessus.

On laisse refroidir et on met au frigo.  J'ai mis mon plat dans le frigo vers 20h hier soir, et j'ai coupé un morceau vers midi aujourd'hui. J'étais un peu intriguée quant au résultat et pour une première fois, c'est réussi!

L'avantage de savoir le faire soi-même, on peut décliner les aromates et épices.

 

Sans titre-4Sur ma salade iceberg, que j'aime bien pour son côté croquant, des croutons en sachet ail et fromage et de la vinaigrette pas maison.

Le tout était bien plaisant!

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