Je continue dans ma lancée avec ces petits livres! A chacun son style, son époque...

Quatre courtes nouvelles, il ne s'agit pas de polar mais c'est plutôt la psychologie des événements qui est le sujet.

Avec le J.K Huysmans, il serait dommage de ne pas lire la nouvelle "Sac à dos", un jeune homme évoque sa guerre, c'est en 1870. L'auteur s'est inspiré de sa vie pour écrire cette nouvelle

Nous voilà partis au Japon avec quatre nouvelles, j'ai surtout bien apprécié les deux premières. La première est d'une logique implacable, la seconde parle d'un peintre qui a poussé très loin pour arriver à créer un chef d'oeuvre.

Le Quatrième livre. Il s'agit de quatre nouvelles, on revient en France, en Provence dans une époque rurale qui s'éloigne de nous. J'ai bien aimé lire l'histoire de cet homme qui voulait sauver ses arbres.

Poivrons farcis.

Préchauffer le four à 210°. Couper les poivrons en 2, enlever les graines. Dans chaque demi- poivron, disposer une rondelle de chorizo et remplir de tomates cerises coupées en deux, ajouter de l'ail érasé et herbes type thym, il faut arroser d'une cuillère d'huile d'olive et un filet de vinaigre. Placer le plat au four pendant 50 minutes environ. Vers la fin de la cuisson, battre un oeuf, ajouter du fromage râpé et une pomme de terre cuite à l'eau, assaisonner. Versez dans chaque demi poivrons et finir la cuisson.

Je me suis basée sur une recette où il s'agissait de faire cuire tomates et poivrons. Il me restait 4 rondelles de chorizo et une pomme de terre cuite la veille pour manger en salade. Ce qui m'a fait un plat tout en utilisant des restes.

Mon livre en cours. Une lecture facile et fluide. C'est un roman mais il semblerait qu'il y ai quelques vérités, lesquelles, on ne sait pas. Peu importe, oui et non, parce qu'il y a au milieu du livre un album photo qu'on nous dit sorti d'une "collection privée". Un livre qui parle de quelqu'un mais avec beaucoup de romancé, une vie racontée de façon... Ou est ce un simple roman! Si la lecture est plaisante!  Une mise en page maladroite, quand le livre en main, on est déconcentré par ce toucher qui nous vient du milieu du livre; l'album photo interrompt la lecture en ce trouvant au mileu d'un châpitre en plus. Mis à part, ce genre d'aléas, c'est simple et agréable à lire.

La télé ne fait pas d'effort mais ce n'est pas grave. Voici le genre de petits livres qui ocupent parfaitement la plage horaire de toutes ces rediffusions...  Comme il s'agit souvent d'extraits de recueils de nouvelles, ces livres sont une ouverture et une découverte de certains autres livres.... Mais cette collection de livres est sympathique, elle permet à ceux qui ne sont des lecteurs assidus de trouver du plaisir quand la télé ne fait plus d'effort.

Ray Bradbury est connu pour son "Fahrenheit 451" (l'histoire du pompier dont le métier est de brûler les livres), "Les chroniques martiennes" (que j'ai lu lorsque j'étais au lycée, mais ne je ne sais plus). Ici, il s'agit de cinq courtes nouvelles. Les cinq sont parfaites mais j'ai une préférence pour trois d'entre elles; "Le petit tambour de Shiloh" est toute en émotion, "un rare miracle d'ingéniosité" est plutôt poétique dans ce qu'elle raconte, "Une femme illustrée" est un peu amusante mais traite de la différence à sa façon. Le tout est agréable à lire.

Le second livre, Voltaire. Choqué par une excussion violente d'un jeune homme, il a écrit à ce sujet. C'est une sorte "D'indignez-vous", façon Voltaire, cela se situe vers 1766. Manifestement, il s'agit de l'exécution d'un jeune homme, probablement mineur, donc d'un enfant, il a eu l'indélicatesse de faire de l'ombre à quelqu'un et d'avoir chanté des chansons paillardes, accusé aussi d'un autre méfait. Du temps de Voltaire, une condamnation à mort... Le jeune homme a été condamné à avoir une main tranché, la langue arrachée, d'avoir la tête tranchée enfin le tout brûlé. D'autres jeunes hommes étaient condamnés aussi, un seul est passé dans les mains des bourreaux. Voltaire s'est indigné parce que condamné ainsi "un enfant dans un tel pays", pour lui s'était l'incompréhension. Quand on lit ce petit livre, on frémit.

Dans un autre style, dans un autre siècle. Voici un petit livre bien fichu aussi. Un presque polar. Peut être qu'il faut aller directement à une édition plus complète. Un prince en mal de divertissement rencontre un homme qui le conduit à une salle de jeu très particulière. Ce petit livre rassemble trois histoires mais on reste en suspend même si on lit la fin. Stevenson est connu pour son "L'étrange cas du dr Jekyll et M.Hyde".

Après quelques jours de bronchite, j'avais hâte de cette pause. Me poser avec le livre, le gros précédemment présenté!, impossible de me concentrer dessus!

J'ai passé mon temps à virevolter, à buller. J'ai lu ceci, une nouvelle, un court récit évoquant une amitié entre deux ados coincés dans une époque compliquée de l'Allemagne des années 30.

Une nouvelle, c'est court mais comme ici si c'est bien écrit, on pose le livre en soupirant. Quel gachis parfois!, mais c'est écrit dans le livre, ils étaient jeunes, des ados avec des soucis d'ados.

Ensuite, j'ai tenté de repartir en Oregon, savoir ce que la famille de bucheron, les Stamper, devenait. Toujours, pas concentrée chez eux, sans doute un besoin d'autre chose!

Alors dans la pile conséquante de livres que je désire lire, j'ai opté pour celui-ci. J'ai commencé ce livre qui n'est pas un roman mais le témoignage d'une femme. Me voilà partie en Angleterre. Cette dame est née en 1907, dans un milieu ouvrier pauvre, elle résume son enfance. Enfance pauvre mais "non-triste" cependant. C'était dur. L'introduction dit que cette dame rêvait enfant de devenir institutrice, le manque de moyen l'a obligé de se placer dans un travail dès ces 14-15 ans, mais elle n'a pas oublié sa vie pour autant, elle a passé son bac à 60 ans.

L'introduction du livre nous dit de regarder cette publicité, il s'agit de cette dame parlant de poulet grillé!

J'ai commencé ce livre depuis plus d'une semaine. Une bonne lecture. Jusque là franchement, top. Cela se passe dans ou autour d'une famille, fin des années 50-début années 60 aux Etats-Unis. Le tout en 800pages, format 1kg dans le sac à main.

Cette lecture a eu quelques contre-temps, la vie quotidienne, les horaires et un bon gros rhume.

J'ai donc repris le fil de cette histoire. Juste le temps de me dire qu'il me fallait un peu situer certaines choses n'étant pas familiarisée avec l'histoire-géographie des Etats-Unis. Je connais "les experts à Las Vegas, à Miami, à New York"... En bonne parisienne, lorsque l'histoire parle de l'Oregon et de New York, de premier abord pour moi, c'était la distance Paris-Deauville.

Donc si je suis à Paris, je pointe mon doigt vers l'Ouest , je dis que l'Amérique c'est par là, on traverse la mer, on parcoure quelques "5800 kms", et on peut arriver à new york; beaucoup de migrants y sont arrivés dans les siècles précédants. L'Oregon est de l'autre côté de l'Amérique, il ya encore environ 3900kms à faire pour se situer un peu dans l'histoire. Dit comme ça, c'est peut amusant, mais les distances dans ce livres sont importantes. Je n'en suis qu'à la page 260 et c'est bien ce problèmes de distances entre les gens qui est, me semble t'il, la colonne vertébrale de ce livre super bien écrit. Je peux me tromper, page 260 sur 800!, tant qu'on a pas dépasser la moitié d'un livre, on est qu'au début! Si le parisien a l'art de calculer les distances à sa manière (c'est d'ailleurs souvent son obsession de calculer la distance) c'est à dire en heure de bouchon (hb), si on sait qu'à Paris un km égal à deux hb!, dans le livre, la distance est omni-présente sous toutes ses formes.

J'ai été aussi "obligée" de jeter un oeil sur la liste des présidents américains, parce que certains personnages parlaient du Général. Il s'agit du président Eisenhover, élu de 1953 à 61, un ancien de la seconde guerre.

Et pour finir, hier entre mes mouchoirs, mes atchoum et l'heure des médicaments, j'ai capté qu'un des personnages allait travailler avec sa radio portable, une nouveauté de son époque, un objet qui lui permettait de partir faire son travail de bucheron en restant "connecté"aux autres. Pas si loin de nous ça finalement!

En conclusion, je dirais que c'est un livre qui demande de prendre son temps de le lire, les anciens de ces personnages ont eu besoin de temps pour parcourir la distance entre ce New York et cet Oregon, c'est un peu présent au début, ce besoin peut être d'évoquer cela! Ce livre est paru pour la première fois en 1963, en France en 2013. L'Oregon, de ce que j'ai lu est entré dans l'union des Etat-Unis en 1858, une amérique encore bien jeunette face à la vieille Europe. Dans ce roman, c'est vers l'Est qu'ils sont allés chercher une femme puis un frère,... ensuite me reste plus qu'à lire pour savoir!

Des références musicales sont évoquées, commençons par ceci!

Et comme, dans le roman il y a dispute pour cause d'avis sur la musique!, je ne suis pas d'aucun parti, je fais ici avec ce que je trouve!

Que de distances!

Personnellement, je laisse de côté les références sur William Shakespeare, question de mise à distance!

Mon livre en cours, un petit roman amusant.

Si l'on est doté d'un ange-gardien aussi maladroit, je pense qu'on n'a plus d'ennemis possibles. Ca protège aussi!

Ceci dit je n'ai pas achevé cette lecture.... donc j'y retourne.

Cela se lit très bien surtout lorsqu'une après-midi s'annonce pluvieuse.

Le personnage doté d'un prénom et d'un nom qui lui ont rendus l'enfance un peu difficile, occupe un poste difficile à vivre lorsqu'on apprécie la lecture. Il travaille dans un atelier de récupération, sa machine broie sans pitié tous les livres invendus qui ainsi repartent au point zéro de leurs existences. Poussière, tu redeviendras poussière; les livres eux redeviennent papier.

Notre héros récupère les feuillets qui ont échappés à la broyeuse, il les lit le matin dans son Rer. Si l'on prend les transports parisiens invaraiblement toujours à la même heure, c'est vrai pour l'avoir vécu, on peut croiser d'autres tout aussi invariables. Ainsi, notre personnage trouve de la considération à lire ainsi tout et n'importe quoi, il trouve un public.  Et il trouve autre chose...

J'ai suivi l'idée proposée sur ce livre. Pas mal. Par contre en respectant, les temps de cuisson, mon aubergine n'était pas assez fondante comme je préfère. C'est reparti au four après la photo, puis mes tomates cerises ont fait un tour dans le plat dans le four juste le temps qu'elles s'ouvrent. Et j'ai apprécié. L'acidité des petites tomates a contre-balancé bien mieux cette tartine d'aubergine au fromage.

C'est plaisant à lire. L'auteur laisse le lecteur libre. Libre d'y croire ou pas. Il s'agit de ces histoires qui n'ont pas trouvées de solutions scientifiques, du genre que l'ont trouve partout dans toutes les régions.

Les histoires de fantômes, ce n'est pas un art français. L'église a toujours été très active pour occulter tous les rites païens. Et de tous les temps, ce qu'aucune des sciences ne pouvait expliquer, c'était autre chose, le diable étant le plus incriminé. Que ce soit Paris, la France ou le Monde tout entier, il est évident de considérer qu'il y aurait à ce jour des milliards de milliards de fantômes présents! Le nombre d'ancêtres est si important, la quantité de ces gens morts violemment par les guerres, les excussions ou tout simplement par la vie ordinaire.... il est difficile de chiffrer le nombre de fantômes possibles!

C'est sympathique à lire.