Essai
Question goût, je ne risquais rien. Des aiguilettes de poulet un petit oignon, du poivron rouge et du chorizo; le tout coupé finement, avant de passer dans la poèle. On ajuste l'assisonnement, j'ai ajouté un peu de sel (sel de noël aux épices), de la coriandre en poudre, un peu de persillade et du cerfeuil séché. Comme je n'ai pas de fromage frais de chèvre, j'ai mis un fond de briquette de crème fraiche allégée. (On peut faire ce que l'on veut, à son goût!) On laisse refroidir.
On roule dans des feuilles de brick (je n'ai toujours pas progresser sur cet art!), et on met dans de l'huile chaude. On laisse dorer et on pose sur du papier sopalin afin d'éponger.
Avec une petite salade, ici laitue rouge et estragon. C'est bien.
Un peu de ciné-club!
Je me suis installée sur le canapé avec mon ouvrage, le chat et une petite séance de ciné-club. Je ne connais pas particulièrement Modigliani, même on a déjà vu certains de ces portraits. Le film, je trouvais que quelque chose n'allait pas, trop mou ou je ne sais quoi, et je trouvais que l'acteur n'allait pas. Le peintre. Artiste "torturé", malheureux, alcoolique et en mauvaise santé, je m'attendais à quelque chose de plus agité et tonique. Stéréotype, peut-être. C'est un film, c'est romancé pas forcément bien exact. En regardant le petit documentaire proposé sur le dvd, j'ai entendu que les défauts perçus en visionnant le film étaient des "regrets" quant au projet du film. C'est vrai que je ne m'occupe pas souvent de savoir qui a fait le film, mais de Becker quand on a vu "Antoine et Antoinette", celui d'aujourd'hui déçoit. Le docu m'a expliqué. Un style qui a dû se trouver dans un autre... etc... Mon petit bilan perso, le film seul, on est mitigé sur l'impression; tandis que le film suivi du documentaire, on comprend mieux.
Une semaine
Sourire
Un avantage de saison! J'ai trouvé sans peine une place en terrasse et j'avais l'embarras du choix pour m'installer avec un livre.
Finalement j'ai opté pour aller manger un plat chaud dans la galerie marchande où j'ai ensuite flâné, le temps qu'il faut pour que mes orteils et mes doigts revivent. Les bottines de citadine ne sont pas adaptées, en plus elles glissent. Les gants ou l'appareil photo....
Puis je suis rentrée, orteils et doigts sont sains et saufs, pas mon nez! Je le sentais venir hier; ce soir, j'en suis sûre, j'ai un rhube! Atchoum... C'est parti pour "la danse du mouchoir"! Un peu de musique? Un petit air de trompette peut-être!
La vie de château!
J'ai visité la Conciergerie. Il y a une expositions sur les châteaux, les vrais ainsi que les châteaux imaginaires.
Mais si la Conciergerie a été une demeurre des rois, elle devint ensuite une prison.
J'ai pu voir une maquette de la Bastille. Avoir ses appartements dedans! Ca manque de fenêtres! Sourire.
La Conciergerie d'après ce que j'ai lu "était réputée comme la plus dure des prisons". La Bastille a été totalement démolie après la révolution, ses pierres ont été vendues et ont servi à construire ailleurs. Tandis que la conciergerie est restée. Et elle a servi, beaucoup. Encore aujourd'hui, me semble t'il.