Un bon moment de lecture!

En flânant dans un rayon livres, j'ai trouvé celui-ci parlant d'une époque, la fin de l'antiquité, on ne parle pas encore du moyen-âge sur cette période. Ce livre est facile et agréable à lire, il résume une période lointaine. Je n'ai pas achevé cette lecture que je me réserve pour le soir.

S'il y a eu les gaulois, c'était avant. L'auteur du livre signale que les gaulois ne se nommaient probablement pas ainsi car alors ils fonctionnaient par tribus et n'avaient pas cette idée de globalité. César aurait donc baptisé cette région de l'empire en se servant du nom d'une des tribus, les Galates.

L'empire romain est passé, a vaincu. Les gaulois se sont dilués dans le nouveau système.  La Gaule est née ainsi.

Tout ce qui n'était pas romain à l'époque était barbare. Coutumes et surtout langages différents. L'empire romain a commencé à perdre de sa vigueur. En gaule sont venus d'autres conquérants. Tout à l'est de l'Europe, certaines tribus dont les Huns étaient particulièrement belliqueuses et violentes. Il y a eu tout un grand mouvement vers l'ouest. Voici en hyper-résumé le contexte qui a amené les Francs en Gaule. Ils venaient de Germanie. Germain, germanus, en latin, l'auteur nous dit que cela veut dire frère; Rome a donné ce nom parce que ces germains et les celtes avaient une "proximité", le livre ne dit ce qu'il faut comprendre comme proximité.

Les Francs sont passés, ont vaincus et sont restés. Les gallo-romains se sont dilués. La Gaule divisée dès l'apparition de son nom, par le fonctionnement en tribu, puis par les provinces administratives romaines, cette Gaule finalement est restée divisée mais autrement. Au fur à mesure des guerres, batailles, assassinats (même d'enfants s'ils étaient des héritiers potentiels d'un des trônes possibles!).

Voici une réprésentation de Dagobert, roi des francs en 629 (oeuvre d'Emile Signol).

La Gaule s'est christiniasée mais tardivement. Le christianisme existait mais c'est vers l'an 496 que Clovis s'est fait baptisé, ce qu'il a fait parce qu'il a eu une victoire qui comptait pour lui, c'était le marché conclus. Il a gagné, sa conversion a été acceptée et suivie.

Pour ce résumé, une conclusion s'impose. Notre ancêtre s'appelle Mélange.

"Le bon roi Dagobert avait sa culotte à l'envers..." Je ne sais pas ce qui lui a valu d'avoir cette chanson!

Je retourne en lecture. Sourire.

Je balade ce livre dans mon sac, j'en lis une ou deux pages par jour. Je l'ai trouvé pour 2 euros chez les bouquinistes. On lit dès le début que le livre et le film n'ont que le titre en commun.

Ce livre a reçu un bon acceuil jadis. Publié en 1926, la première fois. Adapté au cinéma en 1937. Je le trouve en 2014, barbant à lire, monotone. Supposé avoir du mystère et peut être aussi parler de la vie! Je n'en suis qu'à la moitié d'un 240 pages et franchement, c'est barbant!

La narration est bancale. Il y a ce "Je" qui parle d'autres gens. Banal. Sauf qu'ici, c'est mal venu et ça fait jugement.

Je ne suis pas sûre de lire jusqu'au bout, il ne se passe rien, ça c'est une chose. Ce n'est pas plaisant à lire, ce texte n'est pas intemporel.

Normalement j'avais élu ce livre au rang des livres-ciné! Cela me prendre un peu de temps pour vaincre une lecture insipide avant de me faire une petite scéance tranquille ciné-club avec Minette!

Minette et moi avons fait les soldes! Nous avons choisi toutes les deux!

Un livre d'occasion pour commencer, trouvé samedi chez les bouquinistes.

Ensuite, il a fallu choisir. Minette est toujours d'accord pour faire une canapé-party. Elle s'installe sur moi, je ne vois plus le livre en plus de ne plus respirer, je la repousse, elle tourne, choisit de s'installer sur "le machin", c'est à dire le livre.

-Bin, non Minette, je ne vois toujours pas le livre!

-Miaou!

-Minette!, on est deux sur le canapé on va bien y arriver!

Faire les soldes, c'est facile. Choisir ce n'est pas simple! Minette a pris son temps, elle a testé toutes les places possibles. Choisir sa place sur le canapé pour une canapé-party qu'on ne veut pas rater, ça rigole pas.

Quand Minette s'est enfin décidée à s'installer à l'endroit le plus habituel, le long de mes jambes, j'ai enfin pu lire.

J'ai bien aimé, c'est gentil et souriant. Un roman qui parle de vendeuses de grands-magasins parisiens. Le style est très haché, ce qui fait que le texte est ouvert vers d'autres pensées. C'est un roman sympathique qui a sa manière dit que les vendeuses ne sont pas des objets, des potiches et encore moins des boniches.

Le style est très haché au début; quand on arrive à la fin, le texte était en train de changer et de perdre son style hachuré. Du coup, j'ai senti une certaine supercialité en posant le livre. Au total, cela reste une lecture plaisante.

Après une semaine bien travaillée, voici un samedi plaisant. La météo clémente m'a invité à aller me promener. J'ai donc pris le bus et marché un peu.

J'avais repéré une exposition qui ne pouvait que me plaire, j'y suis allée en fin de matinée espérant ainsi éviter une trop grande foule. J'ai ainsi bien profité de ma visite.

Ensuite, j'ai marché le temps de décider quoi manger, je n'ai pas fait un bon choix. Un menu simple pourtant. Steack-frites. Une viande dure, des frites molles, le tout dans un établissement fonctionnant à 90% avec une clientèle de touristes qui doivent se demander pourquoi la cuisine française est aussi réputée!

Enfin bref. Ensuite j'ai fait une simple balade avant de reprendre le bus. Un bon samedi.

 Toute seule, mais festif quand même!