C'est simple mais c'est bon. Des légumes, de l'oeuf, du fromage râpé...

J'ai suivi cette recette mais en l'adaptant au nombre de convives, c'est à dire...moi.

J'ai mis dans ma petit poèle les légumes (le bout d'un poivron orange, une petite courgette, un petit oignon et deux petites carottes. avec un peu de cette préparation sésame-soja. J'ai coupé mes carottes en morceaux petits et la courgette en plus gros, ces légumes nont pas la même résistance à la cuisson.  Il s'agit à ce moment de les précuire et éventuellement faire sortir un peu de leur eau. Comme herbes fraîches, j'ai choisi de la coriandre. J'ai ajusté l'assaisonnement en sel avec une pincée, le fromage râpé ne suffisant pas à lui seul. J'ai mis le minuteur pour respecter les trente minutes de cuisson au four dans un bain-marie.

Simple mais très bon.

Une nouvelle venue dans ma vie, la petite poèle avec son couvercle. Cela fait un mois maintenant! Elle m'a fait plaisir avec un dos de cabillaud au lait de coco épicé.

Parfois, j'admire ces robot multi-fonctions qui semble tout faire. Je ne sais pas à quoi cela me servirait, mais ça fait rêver!

La marmite est un cadeau de ma maman. Il ne s'agit peut être pas d'ustensile qu'on se transmet de génération en génération, mais cette marmitte carbure depuis ces années, quand je me fait une soupe, des légumes ou si on est plus d'un convive. Ensuite, j'ai acheté une casserole un peu plus petite qui a fait du veau marengo et autres bons petits trucs. Et voilà une poèle bien prometteuse!

En cuisine, il n'est pas forcément indispensable de claquer des mille et des cent, juste quelques utensiles, presque trente euros pour la poèle et son couvercle. Si l'on en prend soin, ils facilitent la vie des apprentis cuisiniers.

L'autre chose qui me fait cuisiner, c'est bête à dire. Mais en réalité dans mon ancien appartement, j'avais une cuisinière à gaz, malgré les plaques de répartition de la chaleur, je n'étais pas satisfaite. Depuis que je vis dans un appartement tout à l'électrique, mes plaques peuvent reproduire un peu le plat laissé sur un poèle!, entre autre.

Tout réuni fait que j'arrive à avoir des légumes qui ont le goût de légumes par exemple, sans passer ma vie devant la gazinière, j'obtiens de meilleurs résultats qu'avant. En cuisine, j'ai encore de sacré progrés faire, mais je n'y passe pas tout mon temps. Par contre, c'est vrai que si la raison l'emporte, il faudra arrêter les centrales produisant mon électricité! Mais bon, d'ici là profitons du plaisir en plus de payer les factures.

Tout ça pour dire que je suis contente!

La première fois que j'ai voulu faire cuire du chou rouge, c'était bon mais il avait perdu sa couleur. C'est mieux cette fois-ci.

j'ai trouvé une moitié de chou rouge à la superette. Je ne sais plus où j'ai lu cette recette. Avoir l'avoir coupé et rincé, j'ai fait fondre un peu de margarine dans une casserole. Y mettre le chou, du sel et du poivre, puis un demi verre d'eau, une cuillère à soupe de vinaigre (ici de framboise), une pomme (boskoop puisque c'est ce que j'avais), une cuillère à café de vergeoise (brune pour moi), un petit peu de muscade. Laisser cuire à feu doux en surveillant.

C'est bon légérement acidulé, avec une saucisse de toulouse poélée, ça marche bien.

Mon repas de midi du 11 novembre c'était steack-nouilles. Si le 11 novembre est une célébration importante dans les mémoires, vu que les conséquences sont encore présentes dans la vie des familles, n'en reste pas moins que le plus bel hommage que l'on puisse faire est de vivre. Le 11 novembre se rapporte à la fin d'une guerre, une grande du XXième siècle. Il y a eu une seconde, une autre guerre. On pourrait penser que ce XXième siècle hyper-agité, qui n'a été fait que de guerres qui se suivent, nous aurait tous calmé et assagi. On constate que ce n'est pas le cas.

L'hommage que je porte, il est dans la vie. Dans le partage.

J'ai suivi le shéma d'une recette pour me faire un steack-nouilles.

J'ai utilisé la recette du filet mignon au maroille mais avec de la côte, parce que au moment des courses, c'était de la côte ou rien. La viande côte est plus ferme, mais j'ai obtenu un excellent résultat. J'ai hésité à faire griller la côte comme d'habitude dans la poèle et faire la sauce fromagère à part, napper au dernier moment, cela aurait été bien aussi.

Les sauces fromagères sont souvent bonnes et puis si l'on ne veut pas manger de viande, on verse la sauce au fromage sur des pâtes ou un légume, on obtient un plat qui nourrit.

Comme il me restait un peu de crème de boursin, je l'ai mise avec le vin blanc. 15 à 20 minutes plus tard, j'ai obtenu ceci, une viande qui n'était pas sèche avec une sauce parfaite avec des pâtes. Par contre, j'ai été bien inspirée de ne pas saler les pâtes parce que la sauce suffisait.

Ici, j'ai utilisé du boursin "figues et noix".

Ma boîte cantine était top ce midi, poulet au lait de coco et riz. (Manque sur la photo la coriandre en poudre). C'était bon. Apparemment, cela sentait bon! Sourire.

-Hop, hop!...Hé! Hop on laisse passer!.... Une tarte à la tomate pour la petite dame?

-Hum!! C'est bon!

-Simple, banal, facile!

Un fond pâte à pizza, une fine couche de moutarde (fine parce qu'il faut pas que ça devienne un bain d'acide, les tomates!), des tomates en épaisses tranches, de la persillade. Ici j'ai ajouté une portion de dés de jambon parce que j'en avais, du fromage râpé que j'ai souvent et des olives que j'ai souvent.

Mon four à 180°, le temps d'obtenir ceci!

J'ai une petite tarte aux poireaux qui se fait une four-party!

J'ai mis dans le cuit-vapeur deux poireaux ce midi. Ca se mange impect en vinaigrette. Finalement, mes poireaux ont fini en tarte!

Sur un fond de tarte brisée du commerce! C'est pratique!

Les poireaux ont été mélangés à un oeuf entier et à un jaune, de la crême fraîche épaisse, du sel et du poivre, ensuite le tout a été versé sur la pâte. Au four. Mais je ne savais plus à quelle température! J'ai commencé à 210°, mais la pâte du tour menaçait de bruler. J'ai baissé ensuite à 180°. (mon plat à tarte fait environ 25)

Mine de rien ça sent bon.