Un rayon de soleil!
Ce vous change un dimanche! Au lieu de bougonner à compter les gouttes de pluie, on choisit d'aller voir les petites fleurs, on flâne.
Question lecture, je suis contente d'avoir découvert Nerval par quelque chose de simple. Ces contes et ces facéties. La courte introduction, je l'avais lu avant. Elle signalait que "la main enchantée" était un texte de jeunesse, je suppose qu'il a imité un style donc avant de trouver une autre façon de raconter ce qu'il voulait. Je dis cela parce que les quelques autres textes disponibles dans ce livre sont écrit autrement. Et avant ces bonus incongrus, il y a une histoire "histoire véridique du canard", franchement lisez cette histoire à défaut du reste, son ironie proposée dans cette petite histoire fait sourire encore. Je ne sais pas de quand date cette manière d'appeler les journaux, "un canard", lui connaissait et à su en faire quelque chose qui ne se démode pas.
Les bonus resteront en attente. Pas envie, pas l'envie du moment. Je passe à autre chose. Pour le moment j'ai survolé la première préface, encore que celle-ci n'impose pas de comprendre à notre place pour une fois. J'ai lu la vraie préface, celle de l'auteur, il dit un truc qui rend service. Même si cela ne concerne pas tous les lecteurs, vu qu'à son époque, les choses étaient autrement, il s'adresse malgré tout aux lecteurs. Ceux de 2012 ne peuvent que retenir ce qu'il propose, surtout que depuis le temps, il n'y a pas le feu. Si on occulte un peu, il dit "je conseillerais aux personnes qui se trouvent dans cette disposition d'esprit de ne lire qu'une de ces histoires tout les huit jours". Même s'il avait autre chose en tête au moment de sa rédaction, on peut dire que dit ainsi, il peut rentrer dans une case d'un planning de 2012! C'est lui qui le dit, pas moi! Un jour, on le lit, le reste du temps, on lit ce qu'on veut et bien sûr on fait autre chose!
Ah!
Grosso modo, il connaissait déjà le zapping!