Ce livre est sympa. Cela lit très vite. Au début, on grimace sur l'humour, on s'attend au gag et à la tarte à la crême. Mais bon, ça va bien. L'art de l'humour étant à un millième de degré près, c'est l'art plus fragile qu'un verre en cristal. L'humour, il faut savoir s'arrêter, sinon c'est de la méchanceté.

Donc ce livre, il parle d'un sujet grave, l'émigration clandestine. Ce livre parle sur un ton... léger.

Le tout est sympa et contemporain.

En ce moment, je m'occupe de profiter des belles journées en fonction de mes horaires de travail. Je n'ai pas de petits ouvrages à montrer. Soi"t" je me pose sur un banc pour lire, soi"t "je me balade.

Un truc amusant.

La période des vacances pour la plupart des gens s'est achevée; la rentrée des classes s'est déroulé à la date prévue. Dans les esprits, je pense que "rentrée des classes" signifie automne, parce que j'ai entendu à deux reprises des promeneurs dire qu'on avait de la chance parce qu'il faisait encore beau, une personne a hoché de la tête en ajoutant que la saison commençait doucement.

Cela me fait sourire puisqu'on est en été encore, je me suis dit que la saison ne commençait pas encore, mais qu'elle finissait gentimment. Il fait beau dans la journée, le soir, on allume plus tôt les lumières. Cet entre saison qui annonce, où les habitudes s'adaptent.  

Ce qui me fait soupirer. Le prochain week-end, entre les appels boulot, c'est compromis pour m'installer un bureau d'été!

Ma boîte cantine était top ce midi, poulet au lait de coco et riz. (Manque sur la photo la coriandre en poudre). C'était bon. Apparemment, cela sentait bon! Sourire.